mardi 23 juin 2015

L’industrie du Jurassique



 Les dinos bricolos donnaient dans la mécanique de précision, semble-t-il. Ou bien il faut réviser nos idées sur l'origine de l'homme...

A force de trouver des objets manufacturés, usinés dans des métaux complexes, datant des dinosaures, les archéologues vont avoir du mal à parler encore de singularités.


Quand les singularités sont plus nombreuses que la théorie le prévoit, ce ne sont plus des exceptions, mais la règle. Alors il faut changer la théorie.
Mais c’est là que la bât blesse. Personne ne veut changer aucune théorie, jamais, nulle part. Enfin, je veux dire chez nous, la vieille Europe démodée.

Oui, l'homme a cotoyé les dinosaures il y a des centaines de millions d'années

Les savants russes, en face de telles découvertes, ont pris l’habitude de recourir à l’hypothèse ovni
Ils sont les seuls : en occident cette hypothèse n’est évoquée qu’à Hollywood. J’admire leur courage, mais je dois prévenir  les chercheurs russes qu’il y a une incohérence dans leur hypothèse.
Vu le nombre d’artefacts extrêmement anciens qui ont été découverts depuis deux siècles, les Russes devront admettre que la terre du Jurassique était couverte d’extra-terrestres. Des extraterrestres qui vivent sur terre, ce ne sont plus des extraterrestres…

Waffle Rock,

D’autre part, il existe de nombreuses anomalies dans un lointain passé, anomalies que nul ne songerait à prendre pour de la technologie. Et pourtant ! Waffle Rock, USA : cette roche n’est qu’une partie d’un rocher actuellement immergé par les eaux d’un lac artificiel, le Jennings Lake, West Virginia, USA.
Les géologues ne savent pas comment cela a bien pu se former, et pourquoi seulement ici. Ils sont pourtant tous d’accord pour affirmer que c’est naturel. On se demande bien pourquoi, jusqu’à ce qu’on sache que cette pierre est datée de 200 millions d’années. Encore un beau travail de nos amis les dinosaures.

Hommes et dinosaures


Les mystérieuses pierres d'IcaArtefact, en latin, signifie artificiel. Le mot désigne des objets dont l’origine n’est pas naturelle. Si l’artefact est extrêmement ancien, on reste perplexe. S’il a 200 millions d’années, on suppose que ce n’est pas une oeuvre humaine. A moins que l’Homo sapiens ait connu les dinosaures ? Y avait-il des Homo jurassicus à l’époque ? La science dit non. Mais les pierres gravées d’Ica, au Pérou, montrent des hommes apprivoisant de nombreux animaux disparus, y compris des dinosaures. Des statuettes andines et des bas-reliefs olmèques présentent les mêmes scènes, des hommes en compagnie de dinosaures ou autres animaux gigantesques.

Comparés à ces grosses bêtes, les hommes de l’époque étaient de solides gaillards. Des géants. Faut-il admettre que des homo giganticus aient vécu en compagnie des dinos, disparus depuis soixante millions d’années ?

Empreintes fossiles 


empreinte-humaine-fossile-290millionsans-688po

La découverte de cette empreinte fossile datée de 290 millions d’années  a été faite au Nouveau Mexique par le paléontologiste Jerry McDonald en 1987. A proximité de cette mystérieuse empreinte se trouvaient d’autres empreintes fossiles, oiseaux, petits animaux. Voilà une empreinte qui a laissé une marque durable dans l’esprit de son découvreur : pas plus qu’un autre paléontologue, McDonald est incapable d’expliquer la présence d’une empreinte d’homme moderne dans une couche géologique du Permien, qui remonte selon les spécialistes de 248 à 290 millions d’années, une période où ni l’homme, ni les oiseaux, ni même les dinosaures n’existaient encore. Bien sûr, j’expose ici le credo de la science moderne, dans la ligne de la pensée dominante. Qui n’est pas la mienne… 

En sens inverse, et de la même époque, le pas d'un homme et celui d'un dino. Notez la taille de l'homme.
En tout cas, voici la photo d’un autre fossile étonnant : en 1908, près de Glenn Rose, Texas, on a retrouvé dans la roche une empreinte fossile de pied humain à côté d’une empreinte de dinosaure, marchant en sens contraire.  Les deux empreintes semblent contemporaines, estimées entre 120 et 130 millions d’années. Le plus troublant est que le pied humain est plus grand que la patte de l’animal. Ce qui donnerait à ce surhomme, selon nos standards modernes, la belle taille de 4 mètres.
En août 1870, dans l’Illinois, J.W. Moffit trouva une pièce de monnaie à 30 m de profondeur. Age estimé : cent cinquante mille ans.

Le Pr. Winchell étudia l’objet composé d’un alliage inconnu. La pièce ronde, aux arêtes bien découpées, d’une épaisseur uniforme, montrait un visage féminin couronné, qui semblait gravé à l’acide. Au dos, un animal aux longues oreilles pointues, avec une longue queue effilochée, était accompagné d’un cheval archaïque. Sur les deux faces figurait une écriture tout à fait inconnue.

A Pumapunku, un site archéologique exceptionnel n'a pas été daté à l'heure actuelle.

Une vis paléolithique


En 1961, à Olancha en Californie, trois prospecteurs trouvèrent une géode surprenante. 
L'artefact d'Olancha, Californie. Des prospecteurs l'ont trouvé dans une géode. Age estimé : entre 200 et 500 millions d'années !Une gangue d’argile durcie, de coquillages fossiles autour d’une vis avec une rondelle. A l’intérieur, un cylindre en céramique, dans un manchon hexagonal en bois pétrifié, avec des fragments de cuivre. Cet artefact aurait entre 250.000 et 500.000 ans, avant l’apparition de l’Homo sapiens sapiens. Ce trésor archéologique inestimable fut vendu en 1969 pour 25.000 dollars. Bon débarras pour la science, irritée par de telles singularité, mais crime contre la connaissance. Nous avons tous droit à la vérité.  On a retrouvé depuis peu des traces de vie industrielle, des alliages métalliques extrêmement anciens, au hasard du travail dans les mines.
Ces découvertes n’ayant pas été effectuées par des archéologues diplômés, elles ont été archivées et leurs dossiers classés sans suite. Vive l’archéologie dominante. Mais la question persiste : qui était donc sur terre, en si grand nombre, il y a 300 millions d’années ? Ma réponse n’est pas compliquée, c’est l’homme. Libre à vous d’en imaginer une autre. De mon côté, je vais tenter de le démontrer dans les pages qui viennent.

Le stégosaure d’Angkor


Voici un bas-relief qui dissipe le doute. Il représente un stégosaure, et on se demande bien comment il a pu orner ce temple bouddhiste d’Angkor Vat ? Au Cambodge, on l’appellent le stégosaure Ta Prohm. De quel modèle le sculpteur a-t-il pu se servir ? D’un stégosaure vivant ? Lisez la suite ici.
 stegosaure-ta-prohm-angkorvat-688po

Honoré de Balzac, romancier français, expert ès Comédie Humaine.Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse,puis l’histoire secrète, où sontles véritables causes des événements.Honoré de Balzac

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