Message reçu par la Fille du Soleil
Ah France, ma fille, quelle est ta participation à l’avancement de mon royaume ?
Tu promulgues des lois sans lever ton regard vers moi, tes idées malsaines te rendent toujours plus vulnérable, tu piétines mes lois pour satisfaire un peuple sans foi ni loi, tu accumules erreurs sur erreurs sans tenir compte de mes conseils…
Prends garde à toi… honorer mon adversaire, c’est honorer celui qui cherche ta perte.
Mes lois ne sont pas du vent, un pays solide se bâtit en ma compagnie, pour ma gloire, en suivant mes préceptes, celui-là prospèrera…
Je suis Dieu de Vie, le Seigneur des seigneurs à qui chacun devra rendre des comptes un jour sur la façon dont il à fait avancer mon royaume sur terre.
France, ma bien-aimée, qu’as-tu fais de ton Titre [= France, « Fille Ainée De l’Eglise »] ?
Tu l’as jeté aux vautours pour mieux te complaire dans ton adultère, tu te rassasies du pain des pauvres…
Pour satisfaire ceux qui se rient de moi, tu unis ce qui ne doit pas être uni [allusion au mariage des homosexuels], tu tues ceux qui ne demandent qu’à voir le jour sur terre [allusion à l’avortement], tes lois ne satisfont que tes caprices désordonnés et tu oses te parfumer la tête pour paraître respectable aux yeux de ceux que tu fais tomber dans la fosse…
Je connais ton ambition, tes idées malsaines… ton manque de sagesse et de foi me font si mal, tu te complais dans ta nudité franchissant les étapes à ne pas franchir… Médite ma loi d’amour [c’est-à-dire l’Evangile, les Dix Commandements] et enseigne-la à tes enfants.
Les paroles de mon représentant sur terre [le Saint Père] te laissent-elles de glace ? Ton ironie me blesse… Ressaisis-toi parce qu’en enfreignant mes lois, tu te jettes dans la cage de lions affamés, alors tu comprendras qu’on ne se rit pas de moi.
France, Fille chère à mon cœur, redresse-toi, ne te complais pas dans ta misère [= misère spirituelle] pour devenir forte, emprunte mes voies, ne t’en détourne pas, ne fait pas ce qu’il te plait mais prend plaisir à me faire sourire sinon tu boiras le calice amer que tu t’es préparé et tu ne pourras t’en prendre qu’à toi-même.
Que recherches-tu… ? Ta gloire éphémère ou l’honneur qui m’est du? D’un souffle, je pourrais tout détruire comme au temps de Noé, de Sodome et Gomorrhe, ces peuples pervertis qui se vautraient dans le péché sans se soucier de leur Dieu… Est-ce cela que tu désires ? Non !…
France, de tes entrailles ont jaillis beaucoup de saints… Relève-toi pour rendre grâce à notre Père des Cieux qui connait toutes tes défaillances, implore sa pitié, n’alourdis pas ta faute, ne te complais pas dans les épines mais suis le sentier des lys, alors ton fruit sera Arbre de Vie.
Ton Maître et Seigneur, le Christ des Saintes Écritures.
le 10 juillet 2012
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