l’Alliance des Sphères et la Direction du Conglomérat Privé Interplanétaire (ICC)
et Inspection de la Colonie de Mars.
Par Corey/GoodETxSG, le 22 juin 2015
Rapport de réunion avec la colonie de Mars de l’ICC, le 20 juin 2015
Afin d'aider à la compréhension du message du jour voici une vidéo audio de lecture de texte automatique. Certains passages sont incompréhensibles, mais on y trouve des informations importantes qui aident à comprendre la suite. C'est une traduction partielle d'un message de D.Wilcock sur Corey GoodeET au sujet de l'Alliance des sphères et du Programme Spatial Secret (SSP).
(D.W (David Wilcock), GAIMTV émissions de David.)
Sujet : Message de «RA», explication de la loi de l'un, comment Corey s'est transformé suite à une réaction face à la menace, les Avians bleus…. :
«Chacune de nos incarnations est une occasion, pour notre Créateur, d'apprendre». «Vous trouvez l'information dans le sens ou vous la recherchez. Ceux qui cherchent la connaissance du contrôle vont la recevoir.» «Pas de vengeance pas de sauveur»…
Audio :
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Article précédent celui du jour :
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Je me suis réveillé un peu après 3 heures du matin le samedi 20 juin et j’étais un peu anxieux à propos de cette réunion. J’avais passé le jour précédent à la piscine avec mon épouse et mes deux enfants et j’étais assez lessivé par une des rares journées ensoleillées que nous avons eues dans le nord du Texas cette saison. J’avais bronzé au point où mon cuir chevelu me faisait mal. J’avais été informé l’après-midi précédente que les négociations finales entre l’Alliance SSP (Programme Spatial Secret), l’Alliance des Sphères et la Direction de l’ICC étaient terminées et de m’attendre à être récupéré de la manière habituelle dans un créneau entre 3H30 et 4H00 le lendemain matin.
Je savais que cela allait être une réunion intéressante et probablement longue et étant fatigué par mes activités de la journée, j’ai décidé d’aller me coucher tôt. C’est ce que j’ai fait un peu après 19H00 alors qu’il faisait encore jour dehors et je me suis endormi rapidement. Je me suis réveillé à 23H30 en pensant qu’il était bien plus tard, cette réunion me préoccupait et le fait que je serai dans une colonie martienne sous le contrôle de l’ICC me laissait à penser.
Je me suis finalement rendormi à 12H20. Je me suis réveillé un peu avant 3H00 et j’ai décidé d’aller à la cuisine pour aller prendre une boisson avant de me changer et de me préparer avant que mon ami à la petite sphère bleu/indigo ne passe par le mur de ma chambre à coucher. Je venais juste d’arriver au séjour lorsque la petite sphère décide de changer le programme en glissant dans la pièce à travers la porte fermée du patio. J’ai décidé que je n’avais pas le temps de retourner dans ma chambre pour me changer et revenir, alors j’ai mis mes nu-pieds que j’avais chaussés pour aller à la piscine la veille et j’ai fait signe à la sphère que j’étais prêt à être transporté.
Avant de m’apercevoir de quoi que ce soit je me suis retrouvé dans la pièce familière dans laquelle j’arrivais habituellement aux abords de la salle de conférence VIP de LOC. Je portais un short, un tee-shirt et des nu-pieds et n’avais pas du tout l’air prêt à une excursion diplomatique dans une installation de Mars. Un membre du personnel de LOC est entré dans la pièce et m’a demandé si j’avais besoin de quelque chose. Je lui ai demandé de quoi m’habiller et des bottes, il m’a demandé ma pointure et a quitté la pièce. Au bout de 10 minutes il est revenu avec une combinaison bleu-clair avec le badge de mission de l’Alliance SSP sur l’épaule gauche, l’emplacement réservé à l’unité et au nom laissé en blanc (zones en velcro non renseignées). J’ai mis ma combinaison et mes bottes qui avaient des lacets et une fermeture à glissière sur le côté (différentes de celles auxquelles j’avais droit habituellement) et qui avaient l’air de n’avoir jamais été portées. La même chose était valable pour la combinaison.
Lorsque j’ai été prêt, j’ai été escorté à travers les pièces étroites de la partie commune de LOC vers un des grands hangars où un groupe assez fourni de gens se tenaient en demi-cercle à côté d’un des Vaisseaux Modulaires de Transport de 15 mètres dans lesquels j’avais voyagé précédemment et avec lesquels j’avais été récupéré depuis mon domicile pour subir un scanner à la recherche d’infections par des nanites (nanoparticules) et des IA (Intelligences Artificielles) après une rencontre déplaisante avec des éléments de l’opposition lors d’une fois précédente.
J’ai aperçu «Gonzales» le Délégué de l’Alliance SSP et il a pris note de ma présence et a commencé les présentations. Il y avait un Représentant de l’ICC qui me semblait extrêmement familier. Je n’arrive toujours pas à me rappeler où je l’avais vu auparavant. Il semblait avoir fin de la quarantaine, mesurer 1 mètre 80, peser 90 kilos, avec des yeux bleu-gris et des cheveux presque blancs coupés courts. Il portait un très beau costume que j’avais déjà vu porté par les membres du «Comité des 200» lors des réunions de la Super Fédération. Il avait une autre «coupe» et semblait un peu futuriste, un peu comme ceux que portent les hommes d’affaires et les politiciens en Inde.
Le Lieutenant-colonel Gonzales m’a alors présenté les 4 membres de l’Equipe de Sécurité de l’Alliance SSP, qui étaient également des «EI» (Empathiques Intuitifs). Deux d’entre eux m’accompagneraient constamment et les deux autres seraient affectés à Gonzales. Il y avait également les 4 membres d’équipage de l’appareil qui nous amènerait sur Mars qui ont été présentés collectivement. Le reste des gens présents étaient des membres du Conseil de l’Alliance SSP qui nous ont souhaité bonne chance et une réunion fructueuse alors que nous montions à bord du vaisseau.
Etant modulaires, ces vaisseaux se présentent toujours dans des configurations différentes à l’intérieur, selon la mission qui est la leur. Je les ai vus en version transport de troupes, centre médical mobile, et de réunion et de transport de VIP. Cette fois il y avait des sièges pour tous les présents. On nous a informé que ce trajet nous prendrait près d’une demi-heure parce que Mars était juste de l’autre côté du Soleil donc cela allongeait le trajet pour une raison qui n’a pas été expliquée. Ces vaisseaux font habituellement le trajet sur ces distances en quelques minutes ou moins. Je ne sais pas si c’était un moyen de passer plus de temps avec le représentant de l’ICC ou s’il s’agissait vraiment d’une question technique relative à la position de Mars derrière le Soleil par rapport à la Terre et à la Lune.
Alors que nous décollions à travers les baies qui s’ouvraient dans le hangar nous pouvions voir la surface de la Lune s’éloigner rapidement et puis la Terre à travers les panneaux transparents dans la paroi du vaisseau. Puis nous avons pris de la vitesse et les panneaux sont devenus opaques. Gonzales et le Représentant de l’ICC ont commencé à parler de la réunion et de tous ceux qui allaient y assister. Gonzales a répété au Représentant de l’ICC que nous avions apprécié qu’ils aient accepté que nous emmenions nos propres gardes armés, et que nous choisissions une fois en orbite le site de la réunion, les visites et que nous emmenions une famille de notre choix lors de notre retour pour la questionner et soit lui fournir un abri ou l’autoriser à revenir chez elle dans sa colonie selon les souhaits de la famille. Je suis resté assis à écouter étant donné que n’avais pas pris part aux négociations et que j’espérais apprendre du nouveau au cours de la conversation.
Une fois arrivés dans l’orbite de Mars les panneaux de la paroi sont redevenus transparents et une version agrandie des «écrans tactiles intelligents» est descendue du plafond. Il avait une diagonale d’environ 70 pouces (1,78 m ) et montrait une carte en temps réel de Mars avec des icônes représentant les colonies et les complexes industriels de l’ICC dans l’hémisphère nord. Le Représentant de l’ICC s’est levé et a commencé à les pointer chacune en donnant ses suggestions des «meilleures» installations à visiter et pour tenir la réunion. Gonzales l’a interrompu pour déclarer qu’il avait déjà choisi un lieu basé sur une requête du Conseil de l’Alliance SSP et que l’information se fondait sur des renseignements provenant d’un transfuge de l’ICC.
Le Représentant de l’ICC a aussitôt paru préoccupé et ce regard s’est intensifié lorsque le «signe plus» est apparu sur les coordonnées qui étaient déjà enregistrées dans le système. Il indiquait un endroit qui se trouvait dans la région du pôle sud. Le représentant de l’ICC a déclaré qu’il s’agissait d’une vieille usine et qu’il n’y avait aucune colonie là-bas. Gonzales a déclaré que nos renseignements étaient récents et qu’il s’agissait en effet d’une colonie de taille modeste et qu’un transfuge récent avait vécu là-bas et avait fourni un rapport détaillé.
Le Représentant de l’ICC a déclaré qu’il devrait contacter ses supérieurs pour obtenir l’autorisation. Gonzales lui a rappelé qu’on nous avait promis l’accès à n’importe quelle installation et colonie de notre choix pour la réunion et la visite d’inspection. Le Représentant de l’ICC s’est excusé pour aller dans un petit espace où se trouvait un appareil de communication. Il en est sorti peu après pour nous dire que cela prendrait environ une heure avant qu’il n’obtienne l’autorisation d’atterrir mais que le lieu était approuvé. Il était évident qu’il s’agissait d’une tactique pour gagner du temps en raison du choix inattendu pour donner à l’installation un peu de temps pour se préparer en vitesse à notre arrivée imprévue.
Au bout de 50 très longues minutes nous avons entendu une annonce que l’équipage avait reçu l’autorisation d’atterrir. Alors que nous approchions nous avons pu voir de minces nuages de glace dans la haute atmosphère et les rouleaux des tempêtes de poussière plus au nord de notre trajectoire. Ensuite nous avons aperçu les magnifiques projections bleues et rosâtres sur le bouclier entourant le vaisseau alors qu’il entrait dans l’atmosphère à toute vitesse. Il n’y a eu ni bruit ni turbulences lors de l’entrée dans l’atmosphère.
Nous nous sommes alors dirigés vers une zone de la surface qui était montagneuse et rocheuse avec des endroits couverts de neige et de glace à basse altitude. Nous avons effectué un virage rapide sans force d’inertie ou de G s’exerçant sur les passagers. Notre vaisseau a survolé le terrain à basse altitude à grande vitesse sur plusieurs kilomètres avant d’atteindre une zone ressemblant à un petit canyon. Cela ne ressemblait pas aux grands canyons proches de l’équateur et dans l’hémisphère nord mais c’était néanmoins un canyon. Cela ressemblait davantage au lit asséché d’une rivière flanqué de rives rocheuses en surplomb.
Nous avons commencé à ralentir en nous approchant d’une plateforme rocheuse en surplomb et à ce moment-là une structure cylindrique en forme de tourelle s’est élevée du sommet des rochers et il y avait des fenêtres autour de la structure. Il s’agissait d’une plateforme d’observation ou d’une tour de contrôle de trafic aérien. Une grande trappe s’est alors ouverte en-dessous de nous et nous avons ralenti davantage en y pénétrant. Nous nous sommes retrouvés dans un tunnel de section carrée creusé à même le roc avec des «ouvertures» de chaque côté alors que nous poursuivions notre progression. En regardant par les portes rectangulaires, j’ai pu apercevoir deux appareils en forme de gouttes dans chaque ouverture.
Ces appareils me semblaient inhabituels parce que je n’avais jamais vu d’appareils du SSP qui avaient cette finition brillante de métal chromé. Ils avaient toujours cette teinte noire ou grise caractéristique des «bombardiers furtifs» qui sont familiers à la plupart des gens. La troisième ouverture sur la droite était celle vers laquelle on nous dirigeait et il y avait un des vaisseaux en forme de goutte et un emplacement vide qui était à peine suffisant pour contenir notre vaisseau. Nous avons atterri sur une plateforme et le vaisseau a coupé son système de propulsion. Je me suis enfoncé dans mon siège et la réalité m’a frappé que nous étions arrivés dans un bastion de l’opposition sur Mars.
J’ai remarqué une passerelle qui courait entre les deux vaisseaux dans le double emplacement. La passerelle menait vers une large allée et une zone de stockage où se trouvaient des conteneurs et des instruments sur des chariots. Près d’une douzaine de membres de l’équipe de sécurité de l’installation sont immédiatement arrivés sur l’aire de stockage, vêtus d’uniformes que j’avais déjà vus. C’étaient des «digi-camo» (motifs pixellisés) composés de couleurs noire, rouge rouille et brun foncé. Ils portaient des «fusils» qui ressemblaient à ceux de nos équipes de sécurité. Le Représentant de l’ICC a déclaré qu’il devrait partir en avant pour nous dégager la route et Gonzales a acquiescé en ordonnant d’ouvrir les portes pour qu’il puisse sortir.
Nous avons observé le Représentant de l’ICC parler au personnel de sécurité, et ensuite passer le contrôle de sécurité avant de revenir peu après les deux mains levées pouce en l’air. Il a à moitié couru pour rejoindre le vaisseau à notre descente pour dire que nous étions dans les temps, les dirigeants de l’ICC participant à la conférence qui avaient été informés du lieu choisi étaient en route. Il a déclaré que nous devions passer le contrôle de sécurité et rencontrer le commandant de l’installation qui voulait nous parler.
Le Représentant de l’ICC nous a alors dit quel serait le sujet de la conversation. Il observait soigneusement nos réactions en nous donnant un aperçu de ce à quoi il fallait s’attendre de la part du commandant de la base. Il a déclaré que les habitants de cette installation étaient ici depuis des générations et qu’ils pensaient depuis des décennies que la Terre avait subi une sorte de cataclysme et n’était plus habitable. Il a dit qu’on nous demandait de ne pas bouleverser l’équilibre social de l’installation en révélant que ce n’était pas vrai ou qu’un de nous venait de la surface de la Terre. Il a ensuite tourné les talons pour rejoindre à la même allure l’équipe de sécurité de la base pendant que nous nous regardions d’un air ébahi à la suite de ce qu’il venait de nous dire. Gonzales a dit : «Vous avez entendu l’individu», évitons les incidents ici si nous le pouvons.
Nous sommes alors sortis du vaisseau de l’Alliance SSP en nous dirigeant vers le contrôle de sécurité. Nous avons immédiatement été stoppés lorsqu’un vigile à l’air glacial a regardé notre contingent de sécurité en disant : «Absolument AUCUNE arme au-delà de ce point !» Nous nous sommes arrêtés et Gonzales a regardé le Représentant de l’ICC en déclarant : «Vous savez que c’est une entorse à notre accord, je déteste que les choses prennent fin avant même d’avoir commencé, pas vous ?» Le Représentant de l’ICC est allé au-delà du point de passage et a traversé le hall pour parler au commandant de la base. Ce dernier était visiblement énervé depuis le début et cela ne s’améliorait pas. Le commandant de la base a appelé la sécurité pour leur faire signe de nous laisser passer. C’était un nouvel obstacle surmonté par Gonzales, jusqu’ici tout se passait bien.
En entrant, le commandant de la base nous a servi le couplet à propos des gens qui ne savaient pas que la Terre était toujours vivante et que cela n’avait rien à voir avec les théories d’esclavage répandues par l’Alliance SSP mais qu’il s’agissait d’une «expérimentation sociale». Il a insisté sur le fait que nous devions faire attention de ne pas contaminer une expérimentation sociale qui s’étendait sur des générations et qui allait aider l’humanité. J’ai jeté un regard à Gonzales et il m’a fait de grands yeux durant le discours. Le commandant de la base a ensuite déclaré que le «hall principal» allait être préparé pour la réunion et que nous allions d’abord faire une visite de l’usine qui était à 8 kilomètres grâce à un train souterrain. Il dit qu’après la conférence nous pourrions inspecter la colonie et rencontrer les gens, voir dans quelles conditions ils vivent et demander à une famille si elle voulait partir avec nous.
On nous a ensuite emmenés par une zone de la colonie qui avait été visiblement vidée de ses habitants pour que nous puissions la traverser. La zone était une ville fantôme et un tel espace n’est pas gaspillé dans ces installations. Nous avons ensuite traversé une autre zone creusée directement dans le roc et non terminée. Il y avait une seule voie de monorail entrant d’un côté et ressortant de l’autre côté d’un tube semblable à du verre dépoli. Il semblait rayé et bullé. C’était peut-être de la roche vitrifiée. Un train étroit est alors arrivé et on nous a demandé d’y monter.
La façon d’y monter faisait que nous étions assis dans un ordre étrange. Les sièges étaient disposés deux par deux et se faisaient face. Je me suis retrouvé à plusieurs places de Gonzales avec un garde de sécurité de chaque côté. Il y avait une rangée de personnel de sécurité de la base en face de moi. J’ai remarqué que l’un deux ne cessait de chuchoter avec un autre et il m’a finalement demandé alors que nous descendions dans le tunnel : «D’où venez-vous ?», j’ai répondu sans réfléchir «le Texas» et cela m’a valu un regard choqué des 3 visages qui étaient en face de moi. J’ai su immédiatement que j’avais fait une gaffe.
Les gardes de sécurité ont immédiatement commencé à parler entre eux et je pouvais sentir les yeux de mon équipe de sécurité (des IE) sur moi et en l’espace de quelques secondes j’ai vu un cou tendu dans ma direction depuis la zone où était assis Gonzales. Ouais, j’avais fait une gaffe monumentale. Je ne voulais voir personne d’autre de mon équipe et me suis contenté de regarder par la fenêtre derrière l’équipe de sécurité de la base et la paroi floue qui défilait jusqu’à notre arrivée à l’usine.
Lorsque nous sommes descendus du train, les murmures s’amplifiaient en provenance du personnel de sécurité de la base. Je me suis alors retrouvé face à face avec Gonzales qui affichait un regard péteux et un petit sourire de supériorité. Je l’ai regardé et lui ai dit : «Ouais, je sais que j’ai gaffé.» Je lui ai alors raconté ce qui s’est passé et il a dit qu’il les avait entendu discuter de la façon dont lui et moi sentions et du fait que j’étais bronzé et que je n’avais pas l’air de quelqu’un qui venait d’une colonie ou qui était stationné sur un vaisseau. Il a poursuivi en disant que les gens dans ces environnements clos peuvent identifier les gens à part. Lorsque quelqu’un comme nous sent le gel pour les cheveux, le déodorant ou l’odeur de noix de coco de l’huile solaire et l’aloe vera des crèmes solaires, nous sentons la Terre et leur paraissons très étrangers et déplacés. Ces personnes utilisent toutes les mêmes produits d’hygiène et même l’odeur de la nourriture qui sort des pores de notre peau est un révélateur passif.
Il dit que cela n’aide certainement pas quand un des nôtres dit qu’il vient du «Texas». Il dit qu’il avait envisagé de fournir une explication selon laquelle nous venions d’une base non répertoriée et d’un autre vaisseau ou lieu dont le nom de code était Texas mais il pensait que le mal était fait. Cela se vérifia à mi-chemin de notre visite du complexe industriel. Il était évident que le bruit se répandait à toute vitesse à travers l’équipe de sécurité et que le Représentant de l’ICC en était parfaitement conscient. Il s’assurait que nous le voyons porter alternativement le regard sur les membres qui discutaient et notre groupe en affichant un air désapprobateur.
Nous nous déplacions en un groupe soudé pendant que l’un des résidents expliquait ce que faisait chacune des machines robotisées et ce que faisait chacun des opérateurs aux postes de travail alignés le long du convoyeur au cours du processus de production de panneaux de diverses formes qui composaient des relais neurologiques et des écrans. Nous pouvions voir une version qui était un panneau légèrement incurvé d’une certaine taille mais ils nous ont dit que plus bas dans le système de tunnels il y avait d’autres salles où les mêmes panneaux étaient produits dans des configurations variées et pour divers autres types d’interfaces biologiques neurologiques (pour des clients non-humains).
C’est à peu près à ce moment-là qu’est arrivé un autre train monorail avec beaucoup plus de personnel de sécurité. Ils nous ont dit de nous arrêter et ont pris à part l’équipe de sécurité qui était avec nous, les ont désarmés et les ont escortés vers les trains et sont repartis. Une nouvelle équipe de sécurité nous a été affectée et le Représentant de l’ICC qui avait visiblement une «oreillette» (un écouteur logé dans l’oreille) nous a enjoint de ne pas communiquer avec le service de sécurité sauf pour des questions de sécurité. Puis ils ont apporté un cylindre de métal doté d’un diffuseur et nous ont demandé d’en asperger nos corps et d’en enduire nos visages et nos cheveux. C’était un neutralisant d’odeurs qui ne sentait rien.
J’avais peur qu’il ne contienne quelque chose mais Gonzales a dit que cela allait et j’ai ouvert la fermeture à glissière de ma combinaison pour enduire de la solution mes bras, mes épaules, le cou, les cheveux et le visage. Nous avons ensuite terminé la visite parce que le Représentant de l’ICC nous a annoncé que les autres dirigeants de l’ICC étaient arrivés et que nous allions retourner au «hall principal». Nous avons attendu le retour du monorail, nous sommes entassés dedans pour retourner à la colonie. Sur le chemin du retour un des membres de notre sécurité IE s’est penché vers Gonzales et je l’ai entendu lui dire «quelque chose ne va pas». Gonzales a hoché la tête et lui a dit de le tenir au courant. Les «IE» perçoivent souvent des impressions erronées et il est bon d’en avoir au moins trois pour trianguler les menaces. Lorsque nous percevons une certaine impression, on nous conseillait toujours de rester sur cette impression et de communiquer toute nouvelle menace.
Lorsque nous sommes arrivés à la colonie il y avait une énergie totalement différente. Cela grouillait partout de gens âgés de 8 à environ 60 ans (pour les plus âgés) et habillés de combinaisons d’une pièce qui étaient visiblement leur «costume du dimanche». Ils essayaient également d’avoir l’air de s’affairer tout en essayant de jeter un coup d’œil aux nouveaux arrivants et de capter leurs regards. Il semblait qu’on leur avait dit que nous allions visiter l’installation en demandant à une famille de repartir avec nous pour nous faire un rapport sur l’installation, sur la manière dont elle est gérée et à quoi cela ressemble d’y vivre.
On nous a emmenés dans le «hall principal» qui ressemblait à une zone où était diffusée la propagande quotidienne et il y avait un grand nombre de membres de la direction de l’ICC qui étaient également disséminés dans la foule et il était difficile de les dénombrer. Ils nous ont fait asseoir pour nous faire assister à la projection d’un film publicitaire sur un «grand écran intelligent» qui montrait toutes sortes de technologies qu’ils produisaient, ce qu’ils faisaient pour les vendre et déclarait qu’ils avaient des accords commerciaux avec près de 900 civilisations et faisaient du commerce avec beaucoup d’autres.
Ils présentaient toutes sortes de vaisseaux et de composants de vaisseaux que certains groupes intègrent dans leurs propres technologies et traitaient aussi des accords exopolitiques qu’ils avaient conclus avec des groupes qui passaient de manière régulière dans notre secteur en utilisant un système de portails naturels qui fait partie du «réseau cosmique». Après cette présentation on nous a emmenés faire une visite de la colonie. Les gens étaient très désireux de nous être agréables et de nous montrer leurs quartiers qui étaient de la taille de ma salle à manger et abritaient une famille de 4 personnes. Ils avaient très peu de possessions matérielles et il semblait y avoir un système de castes qui ironiquement ressemblait au film Divergent (en France : Divergente, de Neil Burger, 2014) mais à un niveau plus spécifique.
Nous étions arrivés à la fin de la visite où nous avions vu leur système de contrôle environnemental et leur système de nettoyage et de recyclage (tout est recyclé) et leurs centres communautaires. Il était maintenant temps pour Gonzales de faire part au Représentant de l’ICC de notre choix de la famille que nous allions emmener avec nous. Il a donné le numéro d’une certaine adresse de la famille qui était un code alphanumérique à l’extérieur de leur porte et 15 minutes plus tard un homme, une femme, leur fils adolescent et leur fille préadolescente ont fait leur apparition avec un petit sac dans chaque main. Ils semblaient à la fois stoïques et nerveux. Je n’ai rien dit sur le moment. Un des «IE» membre de notre personnel de sécurité s’est penché vers Gonzales et lui a murmuré quelque chose à l’oreille et Gonzales nous a demandé de rejoindre le vaisseau.
Lorsque la porte s’est refermée, Gonzales s’est tourné vers les gens pour leur dire qu’ils étaient en sécurité et qu’il ne trahirait pas leur bonne foi. Il a dit : «Nous savons qu’il y a un autre membre de votre famille qui n’est pas présent», le père dit : «Comment pouvez-vous savoir cela ?» Gonzales s’est tourné vers notre personnel de sécurité en disant : «nos gens ont certaines aptitudes». La famille s’est alors refermée en refusant de parler. Gonzales s’est alors énervé en disant qu’il allait régler cela et lui et les deux gardes qui lui étaient affectés ont quitté le vaisseau.
Nous sommes restés dans un silence inconfortable pendant 10 minutes et puis les 4 membres d’équipage sont venus nous dire : «Nous avons plus d’une douzaine de gardes armés de la base qui approchent rapidement de l’appareil». Ils m’ont demandé : «Que devons-nous faire ?» Je leur ai demandé s’ils voyaient Gonzales et ils ont dit non, il n’est pas là. Je leur ai dit d’ouvrir les portes et d’attendre. L’équipage a appliqué les mesures de sécurité qui ont effacé les systèmes d’information qui pourraient être utiles à l’ennemi. Lorsque les portes de notre vaisseau se sont ouvertes le personnel de sécurité de la base est entré, a désarmé notre propre service de sécurité et nous a arrêtés. J’avais ce sentiment de creux à l’estomac qui me disait que quelque chose avait mal tourné en me demandant si Gonzales et les autres allaient bien.
Le service de sécurité nous a emmenés, passant devant le commandant de la base qui avait une conversation très animée avec le Représentant de l’ICC. Quelque chose avait très mal tourné et son ego était atteint ou son autorité avait été mise en doute devant ses hommes. Il était extrêmement remonté et n’écoutait plus le Représentant de l’ICC qui lui était pourtant supérieur en grade.
Nous avons été emmenés vers un mur qui avait une double-porte alors qu’il n’y en avait pas auparavant. Ils l’ont ouvert et on nous a emmenés dans un centre de détention qui était manifestement absent lors de notre précédent passage. Alors que nous passions devant une rangée de cellules nous avons vu beaucoup de détenus dans différents stades de détresse psychologique. Lorsque nous avons atteint la dernière cellule où Gonzales et les deux gardes de sécurité étaient enfermés, j’ai été soulagé de constater qu’ils étaient en vie. Nous avons tous été enfermés sans un mot dans la même cellule.
Gonzales nous a dit que le commandant de la base était un tyran totalement mégalomane qui n’avait pas l’habitude que des gens le mettent en cause diplomatiquement ou autrement sur sa base. Il a dit que la récente attaque que les Forces dissidentes de l’Alliance SSP avaient menée sur Mars était revenue dans l’argumentation et constituait à l’évidence une pomme de discorde que le commandant de la base avait utilisée pour le jeter en prison. Je lui ai demandé ce qui risquait de se passer et il m’a dit que d’après ce que disait le commandant de la base cela ne se présentait pas bien, ce qui nous a amené à envisager le pire.
Une minute plus tard à peine les sphères bleu/indigo de nos amis ont glissé par les parois de la cellule, une pour chacun d’entre nous. Elles ont dansé pendant quelques secondes et les autres membres du SSP qui n’avaient jamais voyagé de cette façon ont reculé contre le mur. Gonzales a expliqué comment le transport fonctionnait et puis nous avons tous suivi le SOP et étions rapidement de retour dans la salle LOC où j’avais été transporté au début du voyage. A notre arrivée inopinée une alarme d’intrusion s’est déclenchée au LOC et des gardes armés ont rapidement envahi la salle. Gonzales a demandé au personnel de l’Alliance SSP de se présenter au rapport dans leurs unités respectives pour le débriefing. Ils ont quitté la salle avec les équipes de sécurité armées et la porte s’est refermée nous laissant, Gonzales et moi, seuls dans la pièce.
Gonzales a dit alors : «Nous avons perdu un vaisseau mais sans avoir perdu de membre de l’équipe, c’est déjà quelque chose». Il a déclaré que nous avions rassemblé un tas de renseignements utiles, ce qui était le but réel de notre mission. Il a déclaré que le but de l’ICC était de la propagande et que depuis les récents rapports rendus publics sur le trafic d’esclaves et de travailleurs organisé par l’ICC, ils étaient extrêmement perturbés et dans tous leurs états à propos d’informations rendues publiques qui n’auraient jamais dû l’être. Il m’a dit de continuer à faire ce que je faisais et qu’il ne savait pas vers quoi je me dirigeais à partir de là. Il dit qu’il ne savait pas si j’allais voir Raw-Tear-Eir ou être ramené chez moi. Nous nous sommes dit au revoir et il est parti faire son débriefing.
J’étais extrêmement épuisé par cette épreuve de 14 heures et par la tension suscitée par les poussées et les chutes d’adrénaline et j’étais mûr pour aller me coucher. J’ai enlevé la combinaison et les bottes que j’avais empruntées et les ai placées sur la table au milieu de la pièce où se trouvaient mes nu-pieds. Depuis que cette pièce était devenue une zone de transit si populaire, la grande table de réunion en bois avait été rangée le long du mur pour faire de la place au passage de personnes. Je me tenais une fois de plus seul dans la pièce dans mon tee-shirt et mes shorts en observant les murs.
Bientôt la sphère bleu/indigo a glissé dans la pièce pour me ramener au même endroit du séjour d’où elle m’avait emmené. Comme d’habitude seules quelques minutes s’étaient écoulées en temps local et j’ai essayé de me recoucher pour m’endormir. Mais beaucoup de choses me passaient par la tête à ce moment si bien que je restais allongé dans mon lit à fixer le plafond avant de me relever pour faire une petite mise à jour sur Facebook et pour faire un petit compte-rendu à David Wilcock sur Skype. J’ai également commencé à noter les détails de la réunion pour les utiliser dans ce rapport plus détaillé.
Ceci conclut le rapport de cette réunion particulière. Je suis maintenant à Boulder, Colorado au siège de Gaiam TV en train d’enregistrer 5 épisodes de «Disclosure» avec David Wilcock. Jusqu’ici, je n’ai pas été informé d’autres réunions entre le SSP et l’Alliance des Sphères et j’espère pouvoir passer un peu de temps avec ma famille et me remettre de la récente période d’intense activité de ces réunions.
Merci pour tout ce soutien moral et autre qui m’a été offert. C’est très appréciable et vital pour m’aider à poursuivre mon travail. Gonzales dispose d’une belle structure de soutien aussi bien en fonds qu’en technologie grâce à l’Alliance SSP. Comme me l’a rappelé à plusieurs reprises le Conseil de l’Alliance SSP, je ne travaille pas pour leur compte. Je travaille pour l’Alliance des Sphères qui envisage les choses à un niveau différent. Ils sont excellents pour travailler avec les cœurs des gens pour s’assurer qu’ils ont ce qui leur est nécessaire et rien de plus. Ils veulent certainement que je reste humble et me préoccupe de maintenir un karma positif. J’ai choisi cette voie et vais continuer à la suivre aussi difficile qu’elle soit parfois. Merci pour l’amour et l’énergie positive.
Corey/GoodETxSG
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La terre recyclera et nous préparerons la terre au grand changement qui approche.
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Toutes les informations venant de Corey et de l’alliance des sphères se trouvent en anglais ici :
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«Petit à petit, on devient moins petit»
Cette réplique d'Eva Ionesco dans le téléfilm La petite maman lui va à merveille.
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