lundi 6 juillet 2015

Liberté d'expression : critique des vaccins interdite, le Pr Joyeux bientôt rayé de la profession médicale ?



Jean-Pierre Dickès
ven., 03 juil. 2015 04:21 UTC



© Inconnu
Le 25 juin, le Conseil de l'Ordre a porté plainte contre le Professeur Joyeux, cancérologue et chirurgien, nutritionniste connu pour ses positions en faveur des médecines naturelles. Cet organisme lance de plus une procédure disciplinaire contre lui. En clair s'il est reconnu coupable, il sera rayé de la profession. Pourquoi ? 



Le professeur Joyeux a lancé en mai une pétition qui à ce jour a été signée par près de 700.000 personnes. Elle a été considérée par l'Ordre des Médecins comme « anxiogène » pour les populations et ne s'appuyant pas sur des preuves scientifiques. Il est ajouté que l'accusé n'y connait rien en matière de vaccins. 

Or la controverse ne se situe pas au niveau de l'éventuelle efficacité des vaccins. La question est que les trois vaccins obligatoires sont rassemblés dans le DTPolio (diphtérie, tétanos poliomyélite). Actuellement cette association qui coûte 6,7€ ne se trouve plus en pharmacie ; elle est remplacée par Infanrix Hexa 40 € ; lequel immunise contre six maladies dont l'hépatite B. Or cette maladie se voit essentiellement chez les drogués, les manipulateurs de produits sanguins dans les labos ; elle est aussi transmise par les rapports sexuels. Il plane sur ce produit une aura de toxicité. Comme l'injection se fait à l'âge de deux mois chez les nourrissons, une telle vaccination semble tout à fait disproportionnée et hors de sens commun. D'autant que 56 % des femmes allaitent et protègent ainsi leur nouveau-né contre un certain nombre de maladies contagieuses. Le Professeur Joyeux demande que les pharmacies puissent se réapprovisionner en DTPolio. Il n'y a légalement aucune raison d'obliger de facto les mamans à faire vacciner leur bébé contre six maladies alors que seulement trois vaccins sont obligatoires. 

Il va de soi que cette situation profite essentiellement aux laboratoires qui synthétisent l'Infanrix. Cela va sans dire...Mais c'est ce qui est reproché au professeur Joyeux : c'est de l'avoir dit alors que c'est l'évidence même. Procès en sorcellerie parce que, selon les mots de Marisol Touraine ministre de la santé, le Professeur Joyeux est opposé à l'avortement. Il doit donc être exécuté. 

« Le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté. » chantait Guy Béart.


http://sott.net/fr25936

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