Selon le premier modèle, qui implique l’évolution des espèces, l’espèce humaine est le résultat d’un long cheminement évolutif qui a abouti à l’Homo Sapiens, l’Homme étant dérivé du règne animal. C’est ce scénario de l’histoire de l’humanité qui est constamment matraqué dans les grands médias, qu’il s’agisse d’articles, de livres ou d’émissions télévisées (comme les « docu-fictions » que sont « L’odyssée de l’espèce » et ses suites, la dernière, « Le sacre de l’Homme », ayant été diffusée le 10 avril 2007 sur France 2). Sans oublier, bien sûr, les manuels scolaires.
Une variante du « créationnisme » consiste à postuler que Dieu est intervenu dans le processus de l’évolution, ce dernier n’étant alors pas le seul résultat du « hasard » et de l’environnement. Cette conception est connue sous l’appellation de « dessein intelligent ». Bien sûr, les promoteurs de la théorie de l’évolution affirment que cette théorie n’est fondée sur aucune donnée scientifique.
Il existe cependant deux autres manières d’appréhender le mystère de nos origines. Celles-ci n’ont évidemment pas la faveur des médias, car elles sont minoritaires et sont considérées a priori, par les scientifiques, comme dénuées de fondement. Il existe cependant des chercheurs dissidents qui continuent à défendre l’une ou l’autre de ces théories, voire les deux.
Selon la seconde théorie « alternative », des civilisations évoluées ont existé à la surface de la planète, à l’époque « antédiluvienne », c’est-à-dire, en fait, avant le « Déluge » rapporté notamment dans la Genèse. Celui-ci correspond, ainsi que l’affirment de nombreuses sources convergentes, à la dernière destruction du continent atlante survenue il y a environ 12.000 ans. Évidemment, une telle conception de l’histoire de l’humanité n’est pas du tout en phase avec ce que l’on enseigne dans les manuels scolaires et dans les médias. Si elle est vraie (et je considère qu’elle l’est), alors les préhistoriens (et avec eux les darwinistes) se trompent lourdement dans leur scénario de l’histoire de l’humanité.
Des « chercheurs dissidents » se sont attelés à mettre en évidence des éléments qui attestent, selon eux, de la réalité de l’une ou l’autre (ou des deux) de ces théories « alternatives ». C’est ici qu’il convient de mentionner un ouvrage paru en 2006 aux éditions Cristal : « Histoires interdites ». Ce livre est composé de chapitres rédigés par divers auteurs, le tout ayant été assemblé par Douglas Kenyon, directeur du magazine « Atlantis ».
I. Indices d’une civilisation antédiluvienne :
William Howells note qu’avoir des êtres humains modernes apparus à une époque où mêmes les primates n’existaient pas comme possibles ancêtres, serait dévastateur pour toute la théorie de l’évolution, « qui a été bien établie jusqu’à maintenant ».
Michael Cremo a, quant à lui, cherché à éviter le « mauvais choix » entre créationnisme et évolutionnisme, habituellement présenté dans les médias. Dans « La dévolution humaine », il a repris des éléments de l’idée darwinienne, de la théorie des « anciens astronautes » et de la thèse créationniste. Il pense que les gens sont habitués à une vision simpliste des origines de l’Homme, « alors que la réalité est un peu plus compliquée que ce que les avocats des idées actuelles sont prêts à admettre ».
La théorie du « catastrophisme » postule qu’ont eu lieu des interruptions brutales dans la vie de la planète, altérant le cours de l’évolution. Graham Hancock, ainsi que Rand et Rose Flem-Ath, par exemple, défendent l’idée d’un changement soudain et brutal intervenu, dans un lointain passé, dans la lithosphère terrestre. Reprenant les travaux de Charles Hapgood, les Flem-Ath expliquent qu’une modification soudaine de la croûte terrestre, responsable d’un glissement des continents vers une position radicalement différente, serait la raison pour laquelle on a trouvé des carcasses de centaines de mammouths, de rhinocéros et d’autres anciens mammifères congelés dans une « zone de mort » à travers la Sibérie et le nord du Canada. Les estomacs de ces mammifères contenaient des plantes de pays chauds, ce qui implique que le sol sur lequel ils paissaient est passé subitement d’un climat tempéré à un climat arctique. On dispose par ailleurs de cartes anciennes qui décrivent l’Antarctique avant que celui-ci n’ait été recouvert de glace. On connaît, à ce propos, les cartes de Piri Ri’is, Oronteus Finaeus et Mercator. Graham Hancock et les Flem-Ath évoquent à ce sujet quelque société préhistorique pouvant calculer avec précision la longitude et l’emplacement des côtes, ce dont on ne trouve trace, dans l’Histoire enregistrée, qu’à partir du dix-huitième siècle. Ces cartes, et d’autres preuves, témoignent d’une civilisation préhistorique sophistiquée, et Charlton Heston, le narrateur de « Les origines mystérieuses de l’Homme » sur NBC, a relié ceci à l’Atlantide de Platon.
Un domaine où l’orthodoxie a été souvent remise en cause concerne le changement brutal provoqué par des cataclysmes, ceci allant à l’encontre du « gradualisme » auquel se réfèrent généralement les évolutionnistes. Michael Cremo pense que de tels épisodes catastrophiques ont eu lieu et provoqué de grandes pertes de mémoire pour l’humanité. Il pense, à juste titre, que le souvenir de ces catastrophes survit dans des écrits et cultures anciens, et à travers des traditions orales.
Robert Schoch et Robert Aquinas McNally considèrent que les catastrophes naturelles ont souvent modifié de manière brutale le cours de la civilisation humaine. Des événements naturels cataclysmiques ont pu oblitérer, dans le passé, des civilisations. Néanmoins, il faut préciser que Robert Schoch considère la Lémurie comme « pure fantaisie » et rejette la localisation atlantique de l’Atlantide, deux points sur lesquels je ne suis pas du tout d’accord ! Par contre, il rejette avec justesse la localisation antarctique de l’Atlantide (défendue par Charles Hapgood, les Flem-Ath et Graham Hancock), ainsi que sa localisation dans la Crète Minoenne et dans le sud de la Mer de Chine. Il remet en cause la justesse des cartes faisant penser à un savoir cartographique avancé dans la préhistoire, et il souscrit à l’hypothèse, que je ne partage évidemment pas, de Mary Settegart, selon laquelle Platon s’est référé aux Magdaléniens, une culture paléolithique de la Méditerranée Occidentale qui a mené des guerres chroniques au neuvième millénaire avant J.-C., et dont la disparition a été occasionnée par la fonte des glaciers lors de la dernière période glaciaire et l’inondation probable des campements.
Robert Schoch a néanmoins noté la coïncidence apparente d’un réchauffement global dramatique vers 9645 avant J.-C. (une augmentation d’environ 8° en quinze ans) avec le scénario d’une inondation massive d’eau douce dans le Golfe du Mexique, intervenue à peu près au même moment. Ceci coïncide avec la date donnée par Platon au sujet de l’engloutissement de l’Atlantide.
D. S. Allan et J. B. Delair ont évoqué, dans un ouvrage, les preuves d’une catastrophe cosmique survenue en 9500 avant J.-C. Quant à Paul La Violette, il considère que les cataclysmes sont un événement cyclique, des explosions galactiques intervenant dans des cycles de 26 000 ans (une période en rapport avec l’apparition des équinoxes).
L’un des indices les plus importants en faveur de l’existence d’une civilisation technologique antédiluvienne se trouve dans des textes indiens. Ceux-ci font en effet état de l’existence de vaisseaux aériens (les « vimanas »). On notera aussi que les grandes épopées indiennes décrivent une dévastation militaire comparable à une guerre nucléaire. (Voyez, dans la même rubrique, mon texte : « Les vimanas ».)
John Mitchell estime, quant à lui, que l’on trouve à travers le monde des ouvrages de terre et des monuments en pierre anciens dont l’usage est inconnu, et dont les apparences similaires suggèrent qu’ils pourraient faire partie d’un système mondial, qu’il croit être en relation avec la science atlante. Il évoque les « leys », un réseau de lignes droites reliant les lieux antiques de la Grande-Bretagne, qui ont leurs équivalents en Chine, en Australie, en Amérique du Sud, etc. Comment les pierres géantes des sites antiques ont-elles été découpées, ouvragées, taillées et déplacées ? On peut parler d’incroyable précision à propos de l’élévation de blocs de cent tonnes ou plus, leur transport et leur installation. John Mitchell note l’existence de références récurrentes, de la part des écrivains classiques, au pouvoir du son, « à l’utilisation de la chanson, de la musique et des sons pour rendre les choses plus légères, des chansons de travail où le rythme s’élève et qui vous permet de bouger les choses sans trop d’effort ».
– L’Atlantide :
Quant à Flem-Ath, s’il défend la localisation antarctique, il soupçonne, et sur ce dernier point il a probablement raison, qu’il y ait eu une part d’invention dans le récit platonicien. Il pense par exemple que la guerre entre les Atlantes et les Grecs a été fabriquée pour plaire au public local. Il est en effet plus que vraisemblable qu’il y a un fond de vérité historique (renvoyant à une civilisation antédiluvienne) avec ajout d’éléments inventés, adaptés à l’époque de Platon. Le récit dans son ensemble ne constitue pas un simple mythe, contrairement à ce que soutiennent de nombreux exégètes ou historiens. Dans une émission de Sud Radio (diffusée le 29 octobre 2006 et rediffusée le premier avril 2007), le sociologue Pierre Lagrange a défendu la thèse du « mythe », alors que Jacques Gossart, du groupe « Kadath », a défendu celle de l’Atlantide atlantique. Néanmoins, contrairement à d’autres « atlantologues », Jacques Gossart rejette (comme Pierre Carnac) l’idée d’une civilisation « avancée ». Pour ma part, je me réfère notamment aux nombreuses sources médiumniques qui font état de l’existence passée (au niveau de l’océan Atlantique) d’une civilisation atlante technologiquement avancée.
– Des vestiges de la La Lémurie ?
– L’Inde :
David Lewis parle, à juste titre, de « filtre de la connaissance » à propos de la réinterprétation, par les chercheurs occidentaux, de l’histoire orientale. On a rejeté tout ce qui entre en conflit avec les modèles européens (comme la chrétienté biblique et le matérialisme scientifique). L’Inde est typique de la façon dont l’intellectualisme occidental a conquis le monde. On adhère (c’est le modèle « l’Occident est le meilleur ») aux doctrines européennes (et américaines, ajouterai-je) qui nient les traditions et les tentatives d’apporter des théories faisant référence à une origine plus ancienne de l’Homme. Il faut ajouter le matérialisme scientifique qui rejette les théories non matérielles relatives aux origines de l’Homme, de la vie et de la réalité.
Les deux théories sont nécessitées par les croyances occidentales, avec l’arrivée des darwinistes. Ceux-ci sont à l’origine de la théorie largement répandue du « venu d’Afrique », doctrine selon laquelle l’Homme a évolué à partir d’une forme plus primitive en Afrique du Sud et selon laquelle il a fait lentement son chemin vers l’Asie, puis vers le Nouveau Monde (il y a à peine 12 000 ans).
Mais la théorie de l’invasion aryenne a été démontée, aucun squelette ne montrant de différence entre les supposés envahisseurs et les peuples indigènes d’Inde. Quant à l’imagerie satellite, elle montre que l’antique civilisation Harrapa dans la Vallée de l’Indus et le Mohenjo-Daro a probablement disparue à la suite de changements climatiques, plutôt qu’à la suite de la descente de hordes imaginaires d’Aryens. Cependant, comme le note David Lewis, enterrer la théorie de l’invasion aryenne ouvre la boîte de Pandore pour les scientifiques orthodoxes au sujet non seulement de la préhistoire de l’Inde, mais de celle du monde entier. Si le sanskrit précède les autres langues du monde, de même que le stock génétique de l’Inde, comment expliquer la préhistoire en termes conventionnels ? Notons, en outre, que David Hatcher Childress attribue la disparition d’Harappa et du Mohenjo-Daro à une déflagration nucléaire préhistorique, impliquant des avions et des missiles (les « flèches enflammées » terriblement destructrices de Rama).
Une grande et subite extinction est intervenue sur la planète, peut-être pas plus tard qu’il y a 11 500 ans, date estimée de la dernière grande glaciation, au cours de laquelle des centaines d’espèces de mammifères et de plantes ont disparu de la surface de la Terre, entraînées dans des cavernes profondes, avec des tombereaux de boue, à travers le monde. Des mouvements glaciaires graduels causèrent la mort et la destruction, nous dit-on, bien que cette affirmation ne rende pas compte des indices qui témoignent d’un cataclysme mondial survenu à cette époque.
Les vestiges recueillis en 1947 par le navire d’exploration suédois « Albatros » ont révélé un plateau de lave durcie sur au moins plusieurs centaines de kilomètres au sud-est du Sri Lanka. L’immense éruption qui a généré cette lave peut avoir coïncidé avec la chute du « Kumari Kandam ». Une autre anomalie géographique, qui peut être interprétée comme la preuve d’un cataclysme ayant englouti le « Kumari Kandam », est constituée par la trappe du Deccan en Inde : une grande plaine triangulaire constituée de lave et épaisse de plusieurs centaines de mètres, couvrant quatre cents kilomètres carrés, dans la dépression de l’Indo Gange. Il s’agit d’une gigantesque craquelure dans la surface de la Terre, qui s’étend de Sumatra jusqu’au Golfe Persique, à travers l’Inde.
– Edgar Cayce et l’Atlantide :
Frank Joseph mentionne, dans « Histoires interdites », les révélations du clairvoyant américain Edgar Cayce (décédé en 1945) à propos du continent disparu. La description donnée est celle d’une civilisation technologique : photographie à distance, couteau électrique permettant la chirurgie sans plaie ouverte, musique électronique, rayon mortel, ascenseurs, aéronautique, etc.
En 1898, on a trouvé dans une tombe égyptienne, près de Saqqara, un objet en forme d’« oiseau », fait en bois et pesant 39,12 grammes. Son envergure est de 18 centimètres, ainsi que sa longueur totale. En 1969, le docteur Khalil Massiha a été frappé de constater que cet « oiseau » avait des ailes droites et un bout de queue verticale. Pour lui, l’objet était un modèle d’avion. Le nez de l’avion mesure 3,2 centimètres. Les extrémités de l’avion et le bout des ailes sont de forme aérodynamique. Quatorze modèles volants similaires ont été trouvés. Ces objets peuvent avoir été des « modèles » de l’appareil original utilisé par les ancêtres atlantes.
David Childress est l’auteur d’un livre, co-écrit avec Ivan Sanderson, intitulé : « Les avions vimana de l’Inde ancienne et de l’Atlantide ». Les avions sont présentés, dans plusieurs manuscrits de l’Inde ancienne, avec des détails techniques surprenants. Le « Vimaanika Shastra », le « Manusa » et le « Samarangana Sutradhara » décrivent des « voitures aériennes ». Chacune de ces épopées traite d’une époque ancienne, en relation avec les dernières années belliqueuses de l’Atlantide. Les textes, qui remontent à l’aube de la littérature hindoue, corroborent les descriptions d’Edgar Cayce à propos des appareils volants atlantes. Ces derniers, cependant, n’avaient pas grand-chose à voir avec nos avions modernes. Leur propulsion n’était pas assurée par la combustion ou des réacteurs. Les Atlantes utilisaient, apparemment, deux types de véhicules volants : des dirigeables au gaz, des « vimanas » plus lourds que l’air (et mus par une source d’énergie centrale au sol). A propos des ballons (dirigeables), Edgar Cayce disait que leur enveloppe était faite de peau d’éléphant. Des vessies d’éléphant, légères, étirables et étanches, auraient pu en effet fonctionner pour le transport de gaz plus légers que l’air. On notera, d’ailleurs, que le « Critias » de Platon indique que l’Atlantide regorgeait d’éléphants.
On notera qu’en 1960 des océanographes qui exploraient le fond de l’Océan Atlantique, à environ trois cents kilomètres des côtes portugaises, découvrirent des centaines d’os d’éléphants. On en déduisit que ces animaux avaient autrefois parcouru un territoire maintenant englouti, qui s’étendait des rives atlantiques d’Afrique du Nord jusqu’à un territoire émergé et depuis longtemps effondré sous la mer. Leur découverte apporte du crédit à Platon et à Edgar Cayce.
Selon Edgar Cayce, les Atlantes inventèrent les explosifs. Ignatius Donnelly, le père moderne de l’« Atlantidologie », avait déjà écrit, au dix-neuvième siècle, que les explosifs furent développés en Atlantide.
II. L’interventionnisme et les « anciens astronautes » :
Déjà, dans les années 1960 et 1970, divers auteurs avaient défendu l’une ou l’autre de ces théories, et certains (comme ce fut le cas pour Robert Charroux) avaient même apporté des éléments en faveur des deux. Certes, leur « exégèse » des textes anciens, de certaines traditions ou de certains vestiges archéologiques, n’était pas toujours pertinente, mais je dirai néanmoins que la théorie générale était bien correcte.
Parmi les auteurs de la « première vague » (années 1960-1970) qui ont défendu l’idée de la venue, dans un lointain passé, de visiteurs extraterrestres, il y a bien sûr, pour citer les plus connus, Robert Charroux (décédé en 1978, la même année que Jacques Bergier), Peter Kolosimo (décédé en 1984) et Erich von Däniken. (Ce dernier, qui était toujours vivant en 2015, a même participé à la série documentaire « Alien Theory » diffusée en France sur la chaîne télévisée RMC Découverte.) On connaît aussi, notamment, les « chercheurs dissidents » Zecharia Sitchin (décédé en 2011) et Will Hart. Le premier a fait une étude intéressante du contenu écrit de tablettes sumériennes, étude qui amène à considérer que les dieux des Sumériens étaient en fait des visiteurs de l’espace. Comme « confirmation » de cette thèse, on consultera notamment la passionnante saga écrite par Anton Parks, d’après des informations d’origine « psychique ». (Il ne s’agit pas de channeling, mais plutôt de « mémoire »…) Le tome 1 est « Le secret des étoiles sombres » (éditions Nenki, 2005, réédité aux éditions Nouvelle Terre), le tome 2 est « Adam Genisis » (éditions Nouvelle Terre, 2007), le tome 3 est « Le réveil du Phénix » (éditions Nouvelle Terre, 2010), un quatrième tome étant paru début 2015 sous le titre « Le livre de Nuréa » (Pahana Books). Ces livres donnent des informations sur diverses catégories d’êtres de l’espace et sur leur implication dans l’histoire de l’humanité.
Alain Moreau
Références :
1. J. Douglas Kenyon, « Histoires interdites », éditions Cristal, 2006.
2. Ibid., p. 238-239.
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