Chère lectrice, cher lecteur,
Si vous avez le ventre qui « déborde » un peu, allez-voir s’il y a un mètre souple dans votre boîte à couture. Et sinon, notez sur la liste des courses qu’il faut vous en procurer un d’urgence. Vous allez voir pourquoi : c’est très sérieux.
Car un gros ventre, ce n’est pas du tout une simple question « esthétique ».
Cela peut cacher un problème de santé beaucoup plus grave, qu’on appelle le « syndrome métabolique ».
Aujourd’hui, 15 % des Français souffriraient de ce syndrome, souvent sans le savoir.
Et cela alors que de nombreuses études montrent que l’embonpoint est associé à des risques cardiovasculaires, de diabète ou encore de cancer.
Voilà pourquoi le numéro d’août de Plantes & Bien-Être, que nous nous apprêtons à mettre sous presse, vous propose un test pour savoir si vous êtes atteint du syndrome métabolique.
Pour le faire, il faudra vous équiper de notre fameux mètre souple de couturière et effectuer cinq mesures précises. Grâce à cette méthode, vous saurez. Et si vous dépassez deux des critères retenus, il est temps de vous préoccuper très sérieusement de la taille de votre ventre.
Nous envoyons cette nouvelle édition de Plantes & Bien-Être en impression jeudi 24 juillet. Pour recevoir votre exemplaire chez vous, dans votre boite aux lettres inscrivez-vous grâce au lien au bas de ce message avant mercredi 23 juillet à minuit.
Le mythe de la pilule antigros
Le numéro d’août de Plantes & Bien-Être ne se contente bien sûr pas de vous aider à identifier le syndrome métabolique.
Il vous donne un plan d’action détaillée pour lutter contre la bedaine.
Car autant vous dire tout de suite que si vous comptez sur le tout chimique pour vous aider à régler votre problème, un petit rappel s’impose.
La « pilule antigros », c’était en effet le rêve de certains cardiologues travaillant pour l’industrie pharmaceutique. La recherche de la molécule miracle s'est soldée par des scandales sanitaires comme l’Acomplia ou le Médiator…
Vous verrez dans ce numéro de Plantes & Bien-Être que la médecine naturelle et la phytothérapie proposent, elles, des solutions extrêmement efficaces, et sans le moindre effet secondaire.
En matière alimentaire, il faut absolument éviter de manger ces aliments que les anglo-saxons appellent la « menace blanche ». Ils sont 5, leur nom figure dans le dossier. Vous le noterez bien sur un post-it collé sur le frigo, avec la mention : plus jamais eux !
D’autres aliments sont au contraire à inviter d’urgence à votre table : végétaux frais et secs, plante aromatiques, vin rouge (un peu), etc.
Il existe également des micronutriments, souvent peu connus (vanadium, inositol) très utiles pour lutter contre la bedaine. Nous vous en disons plus à ce sujet.
Certaines plantes agissent également très efficacement contre les méfaits du surpoids. Notamment :
Ce numéro d’août de Plantes & Bien-Être a été conçu comme un guide pratique pour passer à l’action rapidement. Dans un tableau récapitulatif, vous trouverez pour chaque plante la partie à utiliser (baies, écorce, feuilles, etc.), la posologie et certains détails impératifs à connaître avant de les utiliser.
Ils vous livrent la recette de leur tisane secrète
6 des plus grands herboristes d’Europe nous ont révélé quelle était leur tisane secrète, et surtout, ils nous ont donné les détails précis de leur préparation. Vous verrez comment :
Mais ce numéro de Plantes & Bien-Être n’est pas seulement l’occasion de faire des découvertes étonnantes. C’est aussi le moment de passer à l’acte, de commencer à faire soi-même ses propres produits, notamment de beauté, aidé par l’un des meilleurs spécialistes de la cosmétique entièrement naturelle.
Beauté : éviter les pièges de la cosmétique industrielle
Mauvaise nouvelle : plus de 60 % des cosmétiques conventionnels contiennent de potentiels perturbateurs endocriniens comme le triclosan, l’EDTA et certains parabènes.
Bonne nouvelle : avec un peu d’astuce, on peut parfaitement éviter ces cochonneries.
Julien Kaibeck, aromathérapeute et fondateur du mouvement Slow Cosmétique, vous explique comment repérer les ingrédients qui font du mal, et ne pas tomber dans les pièges (très bien tournés, parfois !!!) de l’industrie cosmétique.
Attention, le bio n’est pas toujours – loin de là – un gage suffisant de qualité. Vous allez comprendre pourquoi.
Ensuite, il vous aide à créer à votre tour votre propre cosmétique maison (100 % naturelle) pour prolonger la bonne mine de l’été. Et à découvrir un vrai trésor pour la peau, avec un sérum hydratant à base d’huile de noyaux d’abricot (ajouter quelques gouttes d’huile essentielle de ciste…).
Pluie d’informations à prévoir !!!
Dans ce numéro de Plantes & Bien-Être, vous trouverez encore beaucoup d’autres informations passionnantes sur la phytothérapie, l’aromathérapie, l’homéopathie ou les dernières preuves scientifiques qui valident les vertus médicinales des plantes.
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mercredi 22 juillet 2015
« Au secours, j’ai le ventre qui déborde… »
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