La Société Vril « Alldeutsche Gesellschaft für Metaphysik » de son nom original, fut fondée par une bien mystérieuse jeune femme, du nom de Maria Orsic. Maria était une femme très belle et charmante, nous ne connaissons que très peu de choses sur elle. Nous savons qu’elle est née le 31 octobre 1895 à Zagreb, d’un père croate et d’une mère autrichienne. On pense que leurs noms seraient Tomislav et Sabine. Elle et ses parents quitteront Zagreb pour aller vivre à Vienne, ou on dit qu’elle rejoindra le Mouvement National Allemand. Maria finira par aller vivre à Munich en 1919, ou elle entra en contact avec la Société Thulé. C’est durant cette année qu’elle décidera de fonder son propre cercle, qu’elle nommera donc « Alldeutsche Gesellschaft für Metaphysik » le nom de « Société Vril » vint plus tard.
L’organisation était un petit cercle uniquement composée de jeunes femmes qui furent nommées « Vrilerinnen ». Une caractéristique marquante chez ces femmes après leur beauté était leurs chevelures ; elles étaient particulièrement longues. C’était pour elles un moyen de montrer leur rejet de la modernité et de la mode féminine de l’époque qui consistait à avoir des cheveux plutôt assez courts et coupés en carré. Mais il y aussi une signification plus spirituelle au sujet du pourquoi ces très longues chevelures. La Société Vril se basait spirituellement sur les croyances d’une autre organisation encore plus secrète ; DHvSS – Die Herren vom Schwarzen Stein, en français les « Seigneurs de la Pierre Noire ». Cette organisation remonte au XIII ème siècle, elle fût fondée par des templiers allemands qui quittèrent l’ordre après avoir découvert certains secrets sur la création du monde. Ces Seigneurs de la Pierre Noire auraient eu l’apparition d’une déesse complètement inconnue, s’étant présenté à eux sous le nom d’Isais. Cette dernière aurait eu en sa possession une pierre noire, d’ou le nom « DHvSS », cette pierre serait selon eux la matérialisation de la force et de l’esprit divin inconscient féminin. Par la force divine on entend donc bien sûr l’énergie Vril, qui, si vous la maniez, fait de vous un être similaire à un dieu. Comme DHvSS, cette Isais fût donc au centre de la spiritualité des Vrilerinnen. La très longue chevelure de ces dernières vient des représentations originales faites d’Isais. Isais enseigna que la principale partie vibratoire du corps des femmes sont les cheveux, et que plus ils sont longs, mieux les vibrations sont captées. Maria fût en assez grande partie initiée par la « Societas Templi Marcioni » qui avait hérité du savoir des Seigneurs de la Pierre Noire. Mais les croyances de la Société Vril ne s’arrêtent pas à là, on ne peut pas dire qu’une religion à part entière fût adoptée. Mais la spiritualité des Vrilerinnen était composée de croyances venant de diverses sources, notamment de chez les germains, les hindouistes, les perses, les sumériens, les assyriens, et dans une moindre mesure, dans le mysticisme chrétien.
Pour ce qui est du symbolisme de la Société Vril, il est aussi très lié à ces derniers. Le symbole principal de l’emblème des Vrilerinnen est l’éclair Vril, la toute puissante énergie spirituelle. La première représentation connue de ce symbole nous vient du moyen-orient, on peut le retrouver sur la lance du roi de Babylone Sargon II qui fût d’ailleurs aussi roi des Assyriens. DHvSS a aussi utilisé l’éclair Vril pour l’intégrer à leur emblème au moyen-âge, ils utilisèrent aussi les couleurs noire et violette. Couleurs qui, lorsqu’elles sont combinées représentent la fameuse pierre noire d’Isais, l’esprit divin féminin. Le violet étant la couleur de la lumière divine générée par cette même pierre. Ces couleurs sont donc une manière de symboliser la déesse Isais. La fusion de toute cette symbolique nous donne donc : la force Vril féminine. On peut s’apercevoir qu’elles utilisèrent aussi le Soleil Noir, producteur d’énergie Vril, mais elles le nommèrent sous le nom de « Soleil Magique » ou « Ilum ». Le terme Ilum étant dérivé de « Ilu » qui est un autre nom pour désigner le Vril.
Un jour, Maria entra subitement en transe et elle capta télépathiquement des informations dans une langue qui lui était totalement étrangère. Dans son état second elle rédigea de nombreux textes dans ces deux langues mystérieuses. D’après elle, ces messages télépathiques lui avaient était transmis depuis… Le système solaire d’Aldébaran… Aldébaran est une étoile qui forme « l’œil » de la constellation du taureau, elle située à 68 années-lumière de la Terre, et est 44,2 fois plus grande que notre Soleil. Elle est d’ailleurs l’une des quatre étoiles sacrées des Perses. Les habitants de ce système solaire, seraient des hommes-dieux aryens, qui, pour certains d’entre-eux seraient venus sur notre planète, afin de s’y installer suite à l’expansion de leur étoile, rendant temporairement inhabitable leur planète. Ce serait grâce à leur venue sur Terre que notre race aurait ensuite été créée, . Ils seraient donc nos lointains descendants. Des empreintes fossilisées de pas humains vieilles d’environ 500 millions d’années retrouvées dans l’Utah aux USA, pourraient peut-être être une preuve physique de cette très lointaine colonisation. Un trilobite fossilisé du même âge est piétiné avec le talon. Le trilobite est une écrevisse primitive qui vivait à cet âge la et qui a disparu il y a 400 millions d’années. De plus, l’empreinte prouve que la personne qui l’a faite possédait des chaussures, or l’homme porterait des chaussures depuis à peine seulement quelques milliers d’années. Vous pensez bien que cette extraordinaire découverte fût réfutée, pourtant, les preuves parlent d’elles-mêmes. La théorie de la colonisation terrestre par des êtres supérieurs dotés d’une technologie possédant des milliers d’années d’avance ne peut en aucun cas être jetée, compte-tenu des centaines de preuves existantes au sujet d’un probable lointain passé technologique sur Terre.
En décembre 1919, une maison forestière fut louée près de Berchtesgaden, pour y organiser une réunion ou se rencontrèrent quelques personnes des Sociétés Thulé, Vril et de la Societas Templi Marcioni. Parmi elles, Maria et Sigrun. Sigrun, dont le nom vient d’ailleurs Valkyrie, était la seconde figure de proue de la Société Vril, elle travaillait beaucoup avec Maria. Elles se rendirent donc tout deux à cette réunion pour discuter des étranges messages qui avaient été envoyés à Maria. Cette dernière présenta ses textes, et la langue étrange fût tout de suite reconnue par les hommes de la Societas Templi Marcioni. Ceux-ci affirmèrent qu’elle avait déjà été utilisé au moyen-âge par les Seigneurs de la Pierre Noire et d’autres Templiers, pour leur permettre de dissimuler leurs secrets mystiques et scientifiques. Ils se mirent donc en collaboration et travaillèrent ensemble à la traduction de ces textes, et il s’avère que les informations transmises contenaient des précisions techniques très précises pour construire… Des disques volants… Si vous vous mettez à chercher des informations sur la Société Vril, et sur ce qui gravite autour de celle-ci, vous tomberez souvent sur cette forme d’écriture.
Une fois entièrement traduits, les plans de construction et les renseignements techniques reçus par Maria étaient si précis que naquit l’idée la plus fantastique qui soit : la construction de disques volants. Le concept d’une « autre science » une science alternative, mûrit alors dans les esprits. La Société Thulé accepta de financer le projet, il fallut trois ans pour qu’il soit mis en place. Mais pari réussi, durant l’été 1922 la construction du premier prototype de soucoupe volante débuta, on baptisa cet engin « Jenseitsflugmaschine » ou la machine volante vers l’au-delà. On ne connaît pas les performances de ce premier disque volant. Il fut expérimenté pendant deux ans avant d’être démonté et entreposé dans les ateliers de Messerschmidt à Augsbourg. Par la suite plusieurs scientifiques se joignirent aux projets de construction de soucoupes volantes. Mais je tiens à dire fermement qu’aucun de ces chercheurs, malgré ce que tout le monde dit (sans d’ailleurs savoir quoi que ce soit) ne fit partit de la Société Vril en elle-même. Elle était uniquement composés de femmes et jamais aucun homme n’y entra, ils n’y étaient même pas admis. Et de plus l’organisation n’avait pas un but scientifique mais spirituel et mystique. Voici ci-dessous des photos relatives à l’engin en question.
Le physicien Winfried Otto Schumann, inventeur des « résonances de Schumann » qui travaillait désormais sur les plans de constructions de de soucoupes volantes, fit un exposé à la Faculté des sciences de Munich au sujet de cette nouvelle « autre science ». En voici un extrait sortit des archives secrètes de la SS :
« Dans tous les domaines, il y a deux principes qui déterminent les événements : la lumière et l’ombre, le bien el le mal, la création et la destruction, comme le plus el le moins en électricité. Il s’agit toujours de : d’une façon d’une façon ou d’une autre ! Ces deux derniers principes – désignons-les concrètement comme les principes créateurs et destructeurs – déterminent aussi nos moyens techniques. ( … ) Le principe destructeur qui est l’oeuvre du diable, le principe créateur l’oeuvre de Dieu. ( … ) Toute technique basée sur le principe de l’explosion ou de la combustion peut être cataloguée de technique satanique. La nouvelle ère qui arrive sera l’ère d’une technique nouvelle, positive et divine ! (…) »
Le scientifique et inventeur Viktor Schauberger, dont nous je vous parlais dans mon article sur l’énergie Vril, travaillait à la même période sur un projet similaire. Cela concernait la « science de l’implosion » cela signifie l’utilisation du potentiel des mondes intérieurs dans le monde extérieur. Il découvrit cette science en étudiant les enseignements de Johannes Kepler qui était en possession de la doctrine secrète des pythagoriciens, qui fût reprise et tenue secrète par les Templiers. Adolf Hitler et les membres des Sociétés Thulé et Vril savaient que le principe divin est toujours créateur, une technologie qui par contre repose sur l’explosion, comme la nôtre actuellement, est destructrice et donc par cela opposée au principe divin et à la nature. On voulut donc créer une technologie reposant sur l’implosion. Avec cette technique, on pourrait dissoudre la pesanteur.
En 1934, Schauberger fut présenté à Hitler et aux scientifiques qui travaillaient en partenariat avec la Société Vril. A la suite d’un entretien ils décidèrent de collaborer ensemble à la construction de disques volants. Au mois de juin de la même année, sous la direction du Dr.Schumann, le second engin volant circulaire fut construit, il fut baptisé RFZ-1. RFZ est l’abréviation de « RundFlugZeug » la série d’avions ronds. Cet engin doté d’une propulsion à antigravitation électro-magnétique. Il fit son premier vol conduit par le pilote Lothar Waiz. Ce premier essai failli mal se terminer, son premier vol sera aussi le dernier ; il s’éleva à une hauteur d’environ 60 m et se mit alors à tournoyer et à danser dans l’air pendant plusieurs minutes. C’est avec beaucoup de peine que Lothar Waiz réussit à le poser au sol, à s’en échapper et à s’en éloigner en courant car l’appareil se mit à tourner comme une toupie avant de capoter et d’être complètement mis en pièces. Ce fut la fin du RFZ-1. Mais fin 1934, un autre appareil, le RFZ-2, muni d’une « propulsion vril » et d’un pilotage « à impulsion magnétique » vola enfin. Voici comment le vol fut décrit : « Les contours de l’appareil s’estompaient quand il prenait de la vitesse. Il s’illuminait de différentes couleurs. Suivant la force de propulsion, il passait successivement du rouge à l’orange puis jaune, vert blanc, bleu ou violet ». Cette description ressemble aux témoignages des témoins visuels des apparitions d’ovnis après guerre.
Le 17 décembre 1938 eut lieu une expédition allemande en Antarctique menée par le porte-avions Schwabenland. Les Allemands s’attribuèrent 600 000 km² de terres qu’ils baptisèrent « Neuschwabenland » (Nouvelle Souabe). Des flottes entières de sous-marins allemands prirent plus tard la route de l’Antarctique. Jusqu’à ce jour, plus de cent sous-marins allemands y disparurent. Ils étaient tous équipés du « tube Walter » qui leur permettait de rester plusieurs semaines sous l’eau. Ils y emportèrent probablement des soucoupes volantes en pièces détachées et un grand nombre d’archives de la Société Vril.
En août 1939 décolla le premier RFZ-5. Il était équipé d’armes moyennement lourdes et on fini par le nommer sous le nom bien connu de « Haunebu ». Il avait un équipage composé de huit hommes, avait 25m de diamètre, sa vitesse au départ était de 4.800km/h pour atteindre, plus tard, jusqu’à 17.000km/h. Elle était équipée de deux « canons à rayons forts » (KSK) de 60mm, montés sur tourelles rotatives, et de quatre MK106 et avait une aptitude moyenne à voler dans l’espace. On ne connaît rien sur les deux précédents modèles.
En 1941 sortit le Vril-1, qui fut le premier engin vraiment fiable. Il avait 11,5 mètres de diamètre, possédait un siège et une « propulsion à lévitation Schumann ». Il atteignait des vitesses de 2.900 à 12.000km/h, pouvait accomplir en pleine vitesse des changements de vol à angle droit sans préjudice pour le pilote, il n’était pas soumis aux conditions atmosphériques et était parfaitement apte à voler dans l’espace. Puis la série Vril se poursuivit avec plusieurs autres prototypes, ils gardaient en fait les mêmes caractéristiques au niveau de la propulsion, mais ils étaient toujours plus grands, plus rapides et mieux équipés. Les deux plus prometteurs furent le Vril-7 et le Vril-8. Ces deux modèles subirent toutes sortes de modifications au cours des essais. Apparemment les américains parvinrent à photographier un Vril-7 décollant de Prague. Ce modèle fût testé pour la première fois par Sigrun. Le Vril-8 quant à lui ne fût créé qu’en un seul exemplaire que l’on nomma Odin. Un Vril-9 aurait aussi du voir le jour, mais jamais il ne fût construit, il resta à l’état de croquis.
Au début de l’année 1943, on lança même le projet d’un énorme astronef en forme de cigare, long de 139 mètres, qui devait être construit dans les chantiers de Zeppelin, c’était l’Appareil Andomeda. Il devait transporter plusieurs soucoupes pour des vols interstellaires de longue durée.
En décembre 1943, eu lieu une importante à Kolberg en Pologne, sur la côte de la mer du Nord à laquelle Maria et Sigrun assistèrent. Le sujet de cette réunion concernait le projet Aldébaran. Les Vrilerinnen avaient reçu de nouvelles informations ; deux planètes habitables tourneraient autour de l’étoile. Elles avaient aussi appris qu’un « Wormhole » (trou de ver) existait entre notre système solaire et celui d’Aldébaran. Les trous de ver sont des connexions spatio-temporelles indépendantes de la vitesse de la lumière, reliant différents points de l’univers à d’autres. Ce sont des trous dans l’espace-temps. Un voyage à bord d’un disque volant modèle Vril-7 fut donc programmé pour s’y rendre. Le 2 janvier 1944, Hitler, Himmler, Künkel et Schumann se rencontrèrent pour en parler. A son retour, d’après des photos du Vril-7, on aurait dit qu’il avait voyagé pendant plus d’un siècle, le revêtement extérieur de l’engin paraissait très usagé et il était abimé en de maints endroits. Mais quoi qu’il en soit, l’opération fût une réussite.
Fin mars 1945, des disques volants Vril-7 et le Vril-8 Odin décollèrent de Brandebourg après avoir fait sauter tout le terrain d’essais et en emmenant tout les membres de la Société et une partie des scientifiques. Aucune Vrilerinnen ne fut retrouvée, ni Maria, ni aucune autre, toutes disparurent subitement de la surface de la Terre. Il ne fait aucun doute que la destination prévue était Aldébaran. Des gens qui travaillent sur le sujet et qui ont eu accès à plusieurs documents ont affirmé qu’il s’agissait bien de ça, et qu’Aldébaran n’était pas un nom de code pour un quelconque lieu sur Terre. Nous espérons de tout coeur qu’elles s’en soient sortis. Une lettre écrite par une vrilerin nommée Gudrun a pu être retrouvée. On sait que Gudrun fût une des membres les plus importantes de la Société. Voyant la défaite de l’Allemagne venir à grands pas, elle annonce le départ. Le début commence bien avec « le voyage d’Odin » programmé entre fin mars et avril. La fin quant à elle se termine avec « Personne ne reste ici. Avec courage, vers de nouveaux horizons ». Ci-dessous la lettre en question, vous pouvez l’agrandir, il n’existe pas de meilleur modèle .
A la fin de la guerre l’Amérique lança une opération d’envergure « High Jump » qui visait la saisie de tout les documents sur les technologies secrètes de l’Allemagne, et l’enlèvement des scientifiques ayant travaillés dessus. C’est comme ça que fût recruté dans la NASA Wernher von Braun, l’inventeur du missile V2. Ce dernier joua un très grand rôle dans l’invention du système de fuselage. Viktor Schauberger fût aussi amené aux Etats-Unis, ou il du travailler pour la CIA, il fut obligé de livrer tout son savoir à ces vipères. Il mourra cinq jours après avoir été relâché… Les soviétiques auraient fouillé son appartement de Vienne, en emportant des documents et plans, qui auraient été ensuite détruits. Les forces spéciales américaines se serait emparé de tous les appareils présents à son domicile et l’aurait placé en détention durant 9 mois, afin qu’il établisse un bilan de ses recherches. Les russes seraient parvenus quant à eux à trouver des documents techniques sur le Vril-7.
En 1947, L’opération « High Jump » est lancée, les américains se rendent en Antarctique sous les ordres de l’Amiral Byrd qui avait à sa disposition 5000 hommes, un navire de guerre, un porte-avions entièrement équipé et tout un système complet de ravitaillement. La raison officielle pour laquelle eu lieu cette opération d’envergure fut « l’exploration de l’Antarctique ». Byrd disposait de huit mois de réserves mais fut mystérieusement obligé d’interrompre toute l’opération au bout de seulement huit semaines, et ce après avoir subi de grandes pertes d’avions, le nombre exact de disparus ne fut jamais communiqué. Durant son séjour, il dit avoir découvert quelque chose d’extraordinaire : le passage de la terre creuse et le peuple d’êtres supérieurs qui y vivent (voir journal de bord l’Amiral Byrd). Ces êtres souterrains utilisaient des « flugelrads » des disques volants sur lesquels étaient marqués des Svastikas. Il expliqua plus tard : « c’est dur à entendre mais dans le cas d’une nouvelle guerre il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à l’autre ». Il laissa entendre qu’il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait, en accord avec les SS, d’une technologie nettement supérieure. Tout ce qu’il a pu écrire dans son journal de bord concorde étonnamment bien avec « Vril, the Power of the Coming Race » le roman d’Edward Bulwer-Lytton. Si vous prenez le temps de lire le temps de lire le petit journal de Byrd, à première vue cela vous paraîtra probablement complètement irréel. Mais au moment ou vous vous direz que ce sont de folles élucubrations, posez-vous cette question : pourquoi un amiral renommé, prendrait le risque de se faire passer pour aliéné ou terrible menteur ?
Le physicien Wilhelm Reich, que j’ai cité dans mon précédent article sur l’énergie Vril, disait, comme Schauberger, qu’il était possible, par le biais d’une certaine énergie cosmique, de créer des système de propulsion pour ovnis. Il nommait cette énergie « Orgone » qui n’est rien d’autre que le Vril. Virgil Armstrong, un ex membre de la CIA et ancien officier des services secrets de l’US Air Force, déclara que les engins volants allemands pendant la seconde guerre pouvaient atterrir et décoller à la verticale et faire instantanément des virages à 90°. La CIA et les services secrets britanniques étaient au courant en 1942 de la construction et de l’emploi de tels objets volants et d’ailleurs plusieurs rapports datant des années 50 en témoignent. Le physicien allemand Hermann Oberth, l’un des pères du vol spatial déclara un jour, après la fin de la guerre.On raconte aussi qu’existent des photos d’un disque volant ayant atterrit en RDA dans les années 60 pour repartir aussitôt ensuite. Une Balkenkreuz et une Svastika étaient peintes dessus… Et voici deux témoignages qui ont était fait à monsieur Jean-Marc Roeder un docteur en physique et spécialiste de l’antigravitation, suite à une conférence sur les soucoupes volantes Allemandes :
« Il y a environ deux ans, à la fin d’une petite conférence que je donnais au Lion’s club de Strasbourg sur les soucoupes nazies, deux messieurs très âgés vinrent me trouver. Le premier m’expliqua que, alsacien enrôlé de force dans la wermacht, il avait observé une soucoupe de couleur rougeâtre survolant sa position à basse altitude (environ 60 mètres) lors de la bataille de Koursk sur le front russe. Il estimait la taille de l’engin à environ 20 à 30 mètres de diamètre. Il m’affirma aussi que la soucoupe qu’il avait vue ressemblait à s’y méprendre à un des modèles de Vril dont j’avais montré les photos durant la conférence. De plus, l’officier commandant leur position d’artillerie leur dit de ne pas s’inquiéter car il s’agissait d’une nouvelle arme de vengeance ultrasecrète testée sur le front. L’autre monsieur, alsacien engagé volontaire dans les Waffen SS, me donna un témoignage encore plus impressionnant. Il m’expliqua que, alors qu’il était basé à Augsbourg en 1944, il fut convoqué avec une vingtaine de ses camarades par son commandant SS. Le commandant leur annonça qu’ils se rendraient le jour même à l’aéroport militaire d’Augsbourg pour sécuriser celui-ci durant un test ultra secret. Il leur précisa aussi que la moindre révélation sur ce qu’ils verraient serait sanctionnée par une exécution immédiate. Le témoin m’expliqua qu’il vit sortir d’un hangar, à 100m de sa position, une soucoupe d’environ trente mètres de diamètre et quinze mètre de hauteur, en forme de cloche et surmontée d’un petit dôme. Elle émettait un faible sifflement ainsi qu’un bourdonnement d’abeilles. L’engin semblait flotter à deux mètres du sol en oscillant lentement. Il se dirigea lentement vers la piste de décollage puis s’éleva doucement verticalement jusqu’à cent mètres d’altitude en oscillant comme une feuille morte. Détail intéressant, l’engin de couleur noire devint lumineux en s’élevant, passant d’une luminosité bleue électrique à une couleur rouge grenat sur le côté et orange vif sous le dessous. Il accéléra ensuite à une vitesse foudroyante et disparu à l’horizon en deux seconde en émettant un « son d’orgue ». L’engin réapparu dix minute plus tard au dessus du hangar et chuta en feuille morte devant celui-ci avant de se plaquer au sol avec un bruit métallique sourd. Dès l’atterrissage, le témoin et ses camarades furent immédiatement rembarqués en camion vers leur caserne et ne purent approcher le prototype. Bien sûr, il ne s’agit que d’un témoignage qui n’a pas valeur de preuve mais il m’a parut sincère, d’autant plus que cet ancien combattant avait les larmes aux yeux en me racontant son aventure. Il me remercia même en m’affirmant qu’il attendait depuis cette époque de comprendre ce qu’il avait vu. Je pense que ces témoins ont vu le prototype antigravitationnel Vril 8 « Odin ».»
J’ai aussi pu constater que selon plusieurs sources, un retour de la Société Vril sur Terre, accompagnés des hommes-dieux d’Aldébaran devrait avoir lieu au XXI ème siècle. Un lien avec le Troisième Sargon/Avatar qui doit faire irruption sur le monde pour écraser le mal qui dirige la terre ? Qui sait…
« Nous avons déjà les moyens de voyager vers les étoiles, mais ces technologies sont gardées secrètes au sein de « projets noirs » et il faudrait une acte divin pour qu’elles soient utilisées au bénéfice de l’humanité… »
Ben Rich – Membre de la Fraternité…
Maria Orsic, aussi connu comme Maria Orschitsch était une célèbre médium qui est devenue la cheffe de la Vril Gesellschaft.
OFFICIELLEMENT
Elle est née à Vienne (Autriche). Son père était un immigrant croate de Zagreb, sa mère était de Vienne.
Maria bientôt suivi le mouvement national allemand, qui était actif à ce moment, le principal objectif du mouvement était d’annexer l’Autriche avec le Reich allemand. En l’an 1919 Maria s’installe à Munich, à son petit ami, qui devint plus tard son fiancé. On ne sait pas si ils se sont mariés ou non, parce que les deux ont disparu en 1945.
OFFICIEUSEMENT
L’origine,depuis la naissance ,reste douteuse et mystérieuse dans le cas de Maria Orsic.
Les informations qui suivent,dans cet articles et sur plusieurs autres ,proviennent des fichiers secrets du NKVD, KGB, OSS, Gestapo, SS, le MI5, et les agences de renseignement dans 6 pays. Tout a commencé avec Maria Orsic, y compris les messages extraterrestres, les contacts des étrangers et les ovnis dans les temps modernes. Le phénomène OVNI, les premiers contacts avec des extraterrestres de civilisations au-delà de notre système solaire, et les messages psychiques extraterrestres, tout a commencé avec un mouvement occulte métaphysique-mystique-psychique créé par Maria Orsic en 1917, dans un milieu particulier nageant dans l’occultisme, et cette femme très mystérieuse, fondatrice de la Vrilerinnen (La société du Vril ).
Tout cela fut fondé sur la base de messages qu’elle recevait des extraterrestres d’Aldebaran (Alpha Tauri), qui contiennent des données techniques et des instructions précises sur la façon de construire une superbe machine volante que nous appellerons « disque volant », que des journalistes désigneront sous le nom de soucoupe volante et que tout récemment nous appelons « objet volant non-identifié (OVNI).
D’après les informations que j’ai reçu , cette femme est née le 31 Octobre 1895 à Zagreb, en Croatie. Cependant, il existe une autre source qui est souvent utilisé comme une base de commentaires et de discussions sérieuses sur les OVNI : de nombreux chercheurs et ufologues allemands et d’Europe de l’Est n’écrivent pas la date de naissance de Maria Orsic… nulle part! C’est tout juste pour dire dans certains milieux, qu’elle est née à Vienne, elle aurait la nationalité croate par le père de sa mère un Allemand de Vienne. Maria Orsic, à mes yeux, est une femme superbe avec un visage attrayant et les cheveux longs : j’éprouve un sentiment d’attraction seulement à regarder son portrait. Depuis les années que j’ai ses rares photos sous les yeux, car je pense avoir tout lu sur elle, il y a comme une relation qui s’est établi entre elle et moi. De plus, j’ai étudié et mis en pratique sa philosophie et sa vision psychique, sauf que je suis resté un homme. Dans les articles qui suivront ceux que je vais faire sur la Société du Vril, je vais me permettre de vous enseigner cette science des grandes Prêtresses du Vril, car j’estime que ce pouvoir pourrait permettre de contrecarrer la puissance des Psychiques travaillant pour le Nouvel Ordre Mondial. À cela, comme dans tout art martial, la force télépathique du Vril exige une véritable discipline.
Peut-être que les cheveux longs sont devenus une marque de commerce de la société du Vril dans son ensemble. En raison de Sigrun et Traute photo (vous verrez leurs photos ci-après), elles ont tous deux en commun, à savoir les cheveux longs. C’est l’une des recommandations de Maria Orsic, elle-même.
A Munich, Maria était en contact avec la Thulé Gesellschaft et bientôt elle a créé son propre cercle avec Traute A. de Munich et plusieurs autres amies: la « Gesellschaft für Alldeutsche Métaphysique », le nom officiel de la Vril Gesellschaft. Toutes étaient des jeunes filles, qui, entre autres choses étaient contre la mode résultant des courtes coiffures pour les femmes, à l’époque. Les deux Maria et Traute étaient de belles dames avec des cheveux très longs, Maria était blonde et Traute était brune. Elles avaient des queues de cheval longues, une coiffure très rare à cette époque. Cela est devenu une caractéristique disctinctive à toutes les femmes qui ont intégré la Société du Vril qui s’est maintenue jusqu’au mois de mai 1945. Elles croyaient que leurs longs cheveux agissaient comme des antennes cosmiques qui leur permettraient de recevoir des communications extraterrestres …et de l’ au-delà. En public, cependant, elles n’ont presque jamais exposées leurs cheveux en queue de cheval . Pour l’identification, les membres du Vril (également appelés « Vrilerinnen ») portaient un disque qui a représenté les deux médiums : Maria Orsic et Sigrun.
En Décembre 1919, un petit groupe de personnes du Groupe Thulé, de la Société du Vril et et de la DHvSS (Hommes de la pierre noire) louèrent une loge d’un petit forestier dans les environs de Berchtesgaden (Allemagne) où ils ont rencontré, en compagnie de Maria Orsic et une autre supporteuse qui est seulement connue comme étant Sigrun. Maria a affirmé avoir reçu télépathiquement des transmissions sur un très » secret manuscrit templier allemand »(1) – dans une langue inconnue d’elle – contenant des données techniques pour la construction d’une machine volante. Des documents de la Société du Vril (2) mentionnent ces messages télépathiques qui ont leur origine dans Aldebaran, un système à 68 années-lumière du soleil, dans la constellation du Taureau. Elle avait deux piles de papiers: une avec le script Templiers, l’autre avec une écriture lisible. Maria soupçonnait que la deuxième pile serait écrite dans une langue ancienne de l’Est et, par conséquent, elle pourrait être facilitée par les « Panbabylonists», un cercle étroit de la société de Thulé qui a été intégré par Hugo Winckler, Peter Jensen, Friedrich Delitzsch et autres. Il s’est avéré que la langue apparemment mystérieuse était en fait du Summérien ancien et donc la langue des anciens fondateurs de la culture babylonienne. Sigrun, de la Gesellschaft Vril a aidé à traduire la langue et à déchiffrer les » images mentales étranges » d’une machine de vol circulaire.
C’est pourquoi, l’histoire d’un jeune homme qui aurait pu devenir son amant et fiancé, ne tient pas la rampe. Maria Orsic vivait en permanence avec ses amies. Elles dormaient souvent ensemble, car il fallait interpréter les écrits et les messages télépathiques de Maria …qui se levait souvent dans son sommeil pour écrire ou dicter ses rêves, ses messages venus de l’au-delà. Elle écrivait ou dessinait de façon automatique,comme guidée par des entités. Toutes ces années ou j’ai fait de la recherche sur le sujet,je n’ai jamais vu une photo ou une représentation de ce jeune homme, mais de nombreuses photos ou représentations des grandes prêtresses …parfois en petite tenue, parfois nues. L’hypocrisie de la société bourgeoise allemande de l’époque acceptait davantage les « amitiés particulières » entre femmes qu’une cohabitation homme-femme hors mariage. J’ai aussi lu des documents de la Société du Vril qui parlent de l’exposition de son corps… nu face aux étoiles, la nuit, pour faciliter les communications avec les puissances extraterrestres. Dans les textes, il n’est fait mention que de femmes seulement. J’ai pu remarquer le développement d’une « sexualité sacrée », voire d’un érotisme cosmique entre ces femmes et …en invitant les entités extraterrestres vers elles. Le premier à avoir respecté cet état de fait,est Henrich Himmler lui-même. Le chef des SS était un homme beaucoup plus tolérant que l’histoire écrite nous relate. La réalité étant différente.
Le concept de « autre science » (ou « science alternative ») entre à échéance en ce moment et pour les années suivantes. En raison des difficultés de financement, il a fallu trois ans avant que le projet de machine volante a commencé à prendre forme. En 1922, les pièces de la machine ont commencé à arriver indépendamment de diverses sources industrielles payées en totalité par Thule et Vril.
À la fin de Novembre 1924, elle a visité Rudolf Hess dans son appartement à Munich, avec Rudolf von Sebottendorf, le fondateur de la Société de Thulé. Sebottendorf voulait communiquer avec Dietrich Eckart, qui avait décédé un an avant. Eckert avait traduit les pièces d’Ibsen en allemand et en avait publié le magazine « Auf gut Deutsch », il a également été membre de la Société de Thulé. Pour établir le contact avec Eckart, Sebottendorff et autres Thulists (parmi eux Ernst Schulte-Strathauss) a rejoint mains autour d’une table drapé de noir.
29/07/1936… 15h00 (tel). Un «disque volant » a survolé le territoire de la France, à partir des Pays Basques. Puis il survole Vintimille à très basse altitude (600 mètres), puis viole la zone militaire de Gouta et de Bayard. Malgré la faible altitude, aucun des observateurs militaires n’est capable d’identifier le modèle de l’ »avion Fantôme », ni sa nationalité. Par un étrange « hazard », aucun média ne sera sur place pour faire un communiqué. L’électricité manque et de nombreux appareils tombent en panne (pour un blackout…pas de journaliste sur les lieux?) Le quartier général des gardes-frontières italiens, au nord de l’Italie, pourra entendre le bruit de l’appareil et alertera plus tard les préfectures de La Spezia et Imperia. L’alarme est donné partout au sujet de » l’avion fantôme » (en fait un disque volant).
En Allemagne, Maria Orsic, la grande voyante et grande prêtresse de la Société du Vril,entre en trance. Elle écrira avoir reçu un message télépathique des occupants de l’appareil. À la tombée du jour,elle avertit le Reichführer Heinrich Himmler par téléphone qu’un appareil volant en forme de disque …venant d’un autre monde, va s’écraser en Forêt Noire.
Himmler qui a une confiance aveugle en Maria Orsic, va mobiliser tout son monde à portée de main.
Vers 18h00 (3), sous un ciel nuageux et sombre un ovni s’écrase près de Freiburg, en pleine Forêt Noire. Curieusement, ce sont les grandes prêtresses de la Société du Vril et un détachement de la SS qui seront les premiers sur les lieux. Les officiers crieront des ordres à haute voix, les civils et les curieux seront éloignés pendant que deux camions seront chargés à plein, des débris et morceaux de l’appareil. Il y aurait au moins un survivant parmi les occupants de l’appareil.
Tout le matériel sera envoyé au Château de Wewelsburg.
Le Führer aurait été mis en présence du « survivant de l’écrasement ». Quelques jours plus tard, il se réveillera vers 2h30 du matin, en criant devant ses aides et gardes du corps: »J’ai vu le surhomme…et j’ai tremblé devant lui ! »
Grâce à cet événement inespéré, la technologie militaire et scientifique allemande va connaître un envol …extraordinaire. Maria Orsic est à l’origine de la mise au point du premier « Ovni Nazi » !
(Sources: mes nombreuses recherches personnelles…voir mon article sur les avions fantômes: Avions fantômes)
Hess trouvait énervant de regarder les yeux de Maria Orsic, la voir se reculer et ne montrant que les blancs, et de voir son effondrement en arrière dans sa chaise, bouche bée. Cependant Sebottendorff sourit de satisfaction dès que la voix de Eckart a commencé à sortir du milieu de la pièce.
Eckart a annoncé qu’il a été obligé de laisser la voix de quelqu’un d’autre venir à travers lui, avec un message important. Une voix étrange s’est alors identifié elle-même comme « le Sumi, la voix des habitants d’un monde lointain, qui tourne autour de l’étoile Aldébaran dans la constellation que vous appelez le Taureau ». Hess et Schulte-Strathaus clignotaient de l’un à l’autre leur surprise. Selon la voix, le Sumi était une race humanoïde qui avait brièvement colonisé la Terre il ya 500 millions d’années. Les ruines de l’ancienne Larsa, Shurrupak et Nippur en Irak avaient été construites par eux. Ceux d’entre eux qui ont survécu à la grande inondation de Ut-Napishtim (le déluge de l’Arche de Noé) était devenu les ancêtres de la race aryenne. Sebottendorff resta sceptique et avait demandé des preuves. Alors que Maria était encore dans un état de transe, elle a griffonné quelques lignes de marques bizarres. Ces marques se sont révélés être des caractères anciens en Summérien, la langue des fondateurs de la plus ancienne culture babylonienne.
En Décembre 1943 Maria a participé, en collaboration avec Sigrun, à une réunion organisée par la Société du Vril à la station balnéaire de Kolberg. L’objectif principal de la réunion était de faire face au « projet Aldebaran ». Les médiums Vril avaient reçu des informations précises sur les planètes habitables autour du soleil Aldebaran et ils étaient prêts à planifier un voyage. Ce projet a été examiné de nouveau le 22 Janvier 1944 à une réunion entre Hitler, Himmler, le Dr W. Schumann (scientifique et professeur à l’Université technique de Munich) et Kunkel, de la Vril Gesellschaft. Il a été décidé que le Vril 7 « Jäger » serait envoyé à travers un canal de dimension indépendante de la vitesse de la lumière vers Aldebaran. Selon N. Ratthofer (écrivain), un premier vol d’essai dans le canal de dimension a eu lieu à la fin de 1944.Le vol d’essai a presque fini dans le désastre, car après le vol, le Vril 7 ressemblait à un appareil suranné « comme si il volait depuis une centaine d’années ». Sa tolerie extérieure avait l’air vieille et avait subie des dommages en plusieurs endroits.
Maria Orsic a disparu en 1945. Le 11 Mars 1945 ,un document interne de la Vril Gesellschaft a été envoyé à tous ses membres, une lettre écrite par Maria Orsic. La lettre se termine: « niemand bleibt hier » (personne ne séjourne ici). Ce fut la dernière annonce du Vril, et depuis lors, personne ne entendu de nouveau de Maria ou le reste des membres. Il est spéculé, par de nombreux chercheurs qu’ils se sont échappé en direction d’Aldebaran.
Le 26 avril 1945,en soirée, un disque volant fut aperçu et photographié par un pilote anglais au dessus de la Tamise. La photo montre le symbole de la Luftwaffe sur sa carlingue.
(À Suivre mes ami(e)s car Maria ,croyez-le ou pas,serait de retour!)
NOTES:
(1) : Traduction de l’allemand.
(2) : ces documents viennent d’archives du Troisième Reich conservées à Berlin.Ce sont des fuites qui me les ont mis sous mes yeux.
(3) : Il existe une autre version des faits qui donne une heure très imprécise…entre 2h00 et 3h00 du matin.
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