L’Atlantide selon Edgar Cayce
Avant le déluge, des OVNIs planaient déjà à la surface des eaux. Mais aussi des avions plus basiques… « Il y a 13.000 ans, nous dit Edgar Cayce, des engins volants ultra-rapides sillonnaient le ciel d’Europe. Ils étaient faits d’osier, de toile de lin et d’écorce. »
Pour voir les lignes de force en action, procurez-vous un aimant et de la limaille de fer. Versez un peu de limaille sur un carton, duquel vous approcherez votre aimant. Le dessin que forme la limaille est la manifestation visible des lignes de force. Or les planètes se comportent comme l’aimant. Sources intarissables, elles génèrent des ondes de forces, l’énergie vril ou géo-énergie. De plus, comme l’aimant, les planètes sont polarisées : le pôle nord, d’où partent les lignes de forces, est positif, et le pôle sud est négatif.
Les bidules atlantes se déplaçaient à une vitesse folle. On peut même imaginer qu’ils aient pu dépasser celle de la lumière, c’est à dire 300.000 km par seconde. Encore une affirmation irrecevable pour nos physiciens, puisque la vitesse de la lumière est un absolu infranchissable. Les lois de l’astrophysique auraient-elles changé depuis lors ? Non. C’est le point de vue qui a changé. Disons que l’homme actuel ne s’intéresse plus aux mêmes lois physiques que l’Atlante.
Notre auteur poursuit sa vision : « En Atlantide, quand les peuples comprenaient les lois des forces universelles, le consultant pouvait diriger des messages à travers l’espace vers d’autres pays, guidait les vaisseaux et engins de cette époque… » (source)
Ici encore, on sent que Cayce, brave rural de l’Amérique profonde, a du mal à expliquer ce qu’il voit. Comprendre « les lois des forces universelles » c’est maîtriser la géo-énergie ou énergie Vril, comme d’aucuns préfèrent l’appeler. A l’ère atlantéenne, tout le monde se servait des lignes de force pour se déplacer sur la surface du globe… et même ailleurs.
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