dimanche 21 juin 2015

Cas de diphtérie en Espagne: ce qu'il faut savoir et que la presse ne vous dira jamais

L'information est est tombée il y a quelques jours dans la presse espagnole et la presse habituelle l'a reprise sans la moindre objectivité, comme on pouvait s'y attendre.

 
 
 Un enfant de 6 ans, résident de Olot, localité proche de la ville catalane de Girone a contracté la diphtérie et serait dans "un état sérieux" à l'hôpital du Val d'Hebron de Barcelone selon la presse espagnole. L'enfant n'aurait pas été vacciné selon cette même presse qui claironne aussi que ce serait le 1er cas de diphtérie depuis près de 30 ans, ce qui est déjà un beau gros mensonge compte tenu que la vaccination n'a jamais eu d'action sur la bactérie (n'empêchant donc pas sa circulation) mais uniquement sur la toxine que la bactérie produit, ce qui est très différent. 
 

 
Le bacille de la diphtérie
 
Ce cas arrive donc bien opportunément pour les autorités des divers pays qui font face à des critiques de toutes parts en raison de leur folie vaccinale et ravivées par la pétition sur le vaccin DTP du Pr Joyeux qui a d'ailleurs suscité plusieurs débats dans divers médias (voir iciici et ici notamment).
 
Le discours simpliste des Diafoirus consiste inévitablement à dire "vous voyez, l'enfant n'était pas vacciné, c'est la preuve que le vaccin est indispensable, c'est à cause des antivaccins!" Les parents eux-mêmes ont finis par être instrumentalisés, pensant avoir été "trompés" par une information plus objective et critique sur les vaccins, là où le discours officiel n'aborde quant à lui jamais que la "petite douleur ou rougeur au point d'injection" en violation de leurs droits de parents/tuteurs à un consentement réellement libre et informé... Si donc l'enfant était mort ou handicapé par le vaccin, soyez donc bie certains que cette même presse ne se serait pas pressée pour écrire un article selon lequel les parents se sentiraient trompés par des autorités publiques qu'ils pensaient loyales et bienfaisantes. Et pourtant, ces parents-là, ils se comptent par milliers et ne sont hélas guère difficiles à trouver! 
 
MAIS l'essentiel de ce que vous devez savoir pour ne pas tomber dans le piège de ce discours consistant à monter vainement les gens les uns contre les autres, c'est que: 
 
1. L'inefficacité de la vaccination antidiphtérique a été maintes fois prouvée: 
 
Le Dr Jean Méric signale dans son livre « Vaccinations, je ne serai plus complice » les données factuelles suivantes : 
 
En Russie, 85% des diphtéries ont lieu chez des personnes vaccinées. En France, les quatre derniers cas ont eu lieu, pour deux d’entre eux, sur des individus parfaitement vaccinés, ce qui veut dire vaccinés depuis moins de dix ans. Il est donc inexact de dire que les diphtéries ont lieu uniquement chez les non vaccinés. » (source : Maurice, J., « Diphtérie : l’épidémie se lève à l’est », J.Int.Med. T343, 1995, p.1213. 
 
La maladie a régressé de façon spectaculaire dans tous les pays d’Europe, après 1950, de façon constante, que l’on ait vacciné beaucoup ou pas du tout. (source : Rendu, R., « Résultats comparés de la vaccination et de la non vaccination dans la lutte contre la diphtérie », Journal de la Médecine de Lyon, n°819, 1954.) 
 
La France, championne de la vaccination, après dix-huit ans de vaccinations inefficaces, passe de 45.000 cas en 1945 à quelques cas en 1960. 
 

  
René Bickel, Vaccination, la grande illusion
 
En Ecosse, sans aucune vaccination, la diphtérie a régressé dans les mêmes proportions (10.000 cas en 1945 à 100 en 1960). (source : Delarue, F., L’Intoxication vaccinale. Rapport du département de la santé, Ecosse, le Seuil, p.16.) 
 
En Allemagne, l’étude est particulièrement intéressante et instructive. Avant la fin de la guerre 40-45, ce pays a massivement vacciné. Pendant la période où la vaccination était obligatoire, le nombre des malades est passé de 30.000 cas en 1926 à 153.000 cas en 1945. Après la guerre, constatant l’absence de résultat, l’Allemagne, pour des raisons économiques, n’a plus vacciné. Oh ! miracle, elle est alors passée de 153.000 cas en 1945 à 20.952 et quelques cas seulement en 1960 ! (source : Delarue, F., L’Intoxication vaccinale, le Seuil, p.20-21.) 
 
En Suisse, nous constatons la même diminution de la maladie dans tous les cantons. Certains cantons vaccinaient beaucoup, comme le canton de Genève, d’autres vaccinaient facultativement et 24 d’entre eux ne vaccinaient pas du tout. 
 
En France, comment pouvait-on attribuer la victoire de la diphtérie à la vaccination ? La mortalité par diphtéries avait régressé de façon identique chez les enfants de 1 à 14 ans vaccinés et chez les nouveau-nés non encore vaccinés. (source : Delarue, F., « Expériences comparatives réalisées pendant la seconde guerre mondiale et depuis », in L’Intoxication vaccinale. Le Seuil, p.19.) 
 
La vaccination n’était, en effet, effectuée qu’à partir de l’âge de un an. Nous ne pouvons attribuer la régression de la mortalité, chez les nouveau-nés à l’absence de contagion au contact des vaccinés, puisque les vaccinés contaminés par le bacille diphtérique sont contagieux pour leur entourage. La vaccination ne peut pas empêcher la diphtérie, elle ne peut que la rendre asymptomatique. Elle ne peut neutraliser que la toxine, pas le bacille. Le vaccin n’a donc aucune action sur la contagion. Les malades nouveau-nés auraient dû être aussi nombreux qu’avant la vaccination. 
 
Statistiquement, il est impossible d’attribuer la baisse des diphtéries à la vaccination. Au contraire, partout où elle a été appliquée, nous avons eu d’abord une forte augmentation de la maladie. 
 
Il est intéressant de connaître les bases épidémiologiques qui ont permis à la médecine d’imposer à tous ce vaccin. En 1925, la diphtérie sévissait dans l’armée du Rhin ; voilà l’occasion, pour l’Institut Pasteur, de tester en milieu épidémique le nouveau vaccin de Ramon. (source : Rendu, R., « Fréquence comparée de la diphtérie chez les vaccinés et les non vaccinés », Acta Medica Scandinavia.T126, p.528-540, 1947.) 
 
Cette étude fut confiée au médecin militaire M. Zoeller qui étudia auparavant le vaccin antitétanique. Les appelés du contingent étaient de bons cobayes, dociles et sans recours. Les vaccins étaient testés sur eux. De nos jours, nous allons tester les nouveaux vaccins en Afrique, pour les mêmes raisons. On vaccina 305 soldats avec l’anatoxine diphtérique (avec deux doses à trois semaines d'intervalle). Le reste du régiment, 700 recrues servant de témoins, échappèrent à la vaccination. Après la première injection, onze cas de diphtéries se déclenchèrent chez les vaccinés et un seul chez les témoins, soit 22 fois plus de cas chez les vaccinés. M. Zoeller déclara qu’on ne pouvait prendre en compte ces diphtéries apparues chez les vaccinés, dans les jours qui suivirent la vaccination, car ils n’avaient pas eu le temps de s’immuniser. On comptabilisa ces douze cas chez les non vaccinés et, ô miracle de la médecine, on passa ainsi de 0 cas chez les vaccinés à 12 cas chez les non vaccinés. Ainsi, le vaccin démontra sa merveilleuse efficacité. La moindre des choses quand nous nous voulons scientifiques et que nous constatons un fait qui ne plaide pas en faveur de l’hypothèse retenue, c’eût été de reprendre l’étude sur le terrain et de voir si cela se reproduisait. Mais non, on déclare d’emblée l’utilité de la vaccination. Pourtant de nombreux médecins constatèrent le même effet chez les vaccinés. Des diphtéries graves apparaissaient dans les 24 à 48 heures après la vaccination, mais bien sûr pas de remise en cause de la part des décideurs. Il ne fallait surtout pas nuire à la vaccination. 
 

  
René Bickel, Vaccination, la grande illusion
 
L'OMS admettait par exemple en 1962 qu' "Il est vrai, cependant, que la fréquence des cas nouveaux de diphtérie peut augmenter et diminuer indépendamment des programmes de vaccination." (source: "Le rôle de l'immunisation dans la lutte contre les maladies transmissibles", Cahiers de santé publique O.M.S, n°8, p.64; 1962) 
 
Dans un autre document de l'OMS (de 1975) intitulé "Quelques problèmes non résolus dans la diphtérie" , on peut notamment lire que "Le degré de protection conféré par la vaccination avec l'antitoxine n'est souvent guère satisfaisant.7 à 10 % des cas de diphtérie signalés aux États-Unis se déclarent chez des sujets complètement immunisés selon leur dossier, selon le rapport annuel de surveillance de la Diphétrie de l'US Communicable Disease Centre". Deuxièmement, ce rapport indique aussi que, comme il a été clairement montré par Frost en 1928, l'immunité antidiphtérique est fréquente au cours de la première enfance à la suite d'infections cutanées impliquant C.Diphtheria (diphtérie cutanée) et dont les signes cliniques sont très ténus sinon absents. Il n'est donc pas possible de savoir dans quelles proportions l'immunité est acquise par voie de vaccination ou autrement ». 
 
2. Il n'existe pas d'essais contrôlés (donc rigoureux) sur l'efficacité de ce vaccin: 
 
Dans la même source de l'OMS de 1962 susmentionnée, on peut trouver d'autres aveux sur l'absence d'évaluation rigoureuse et scientifique du bienfondé de la vaccination antidiphtérique: 
 

  
Michel Georget, L'apport des vaccinations à la santé publique, la réalité derrière le mythe (Dangles)

3. Le vaccin présente aussi des risques qui ne sont pas nuls: 
 
N'oublions pas que lorsque des enfants meurent ou subissent de lourds handicaps après vaccination, ils sont systématiquement classés dans les "coïncidences" et jamais les médias n'iront évoquer cette ampleur alarmante des cas graves, donc leur aspect quantitatif (les cas, sous forme de faits divers, qui sont repris par les médias ne sont donc qu'épisodiques, à la manière d'exceptions qui continuent donc de confirmer l'impitoyable règle du tabou...). Ce premier rappel était d'autant plus important qu'il a suffi d'un seul décès d'un bébé allemand après la rougeole(sans qu'on dispose de données suffisantes sur l'état de santé global de l'enfant) pour remettre sur la table le débat sur la liberté vaccinale dans ce pays, là où des milliers d'handicaps graves post-vaccinaux ne suffisent toujours pas pour avoir le centième de cet effet médiatique. 
 
Quels sont les risques du vaccin antidiphtérique? Quelle est leur nature? 

 
Le Dr Méric écrit dans son ouvrage précédemment mentionné : "La généralisation de la vaccination dans une population mal nourrie et chez les alcooliques, à l'époque, a donné lieu à de sévères critiques suite aux réactions et effets secondaires qu'elle a entraînés (poussées d'urticaire, accidents rénaux, rhumatisme et surtout diabète). Nous avons dû créer un nouveau médicament antidiabète, la cocarboxilase." (Vaccination, je ne serai plus complice, p.64) 
 
Parmi les autres complications recensées dans la littérature médicale: Troubles nerveux, encéphalites, troubles psychiques et retards mentaux. Les réactions d'arthus sont aussi à craindre. Le phénomène d'arthus est une réaction d'hypersensibilité grave et pouvant être très douloureuse, qui correspond à une vascularite aiguë expérimentale, liée à une réaction à "complexes immuns" (des anticorps précédents s'accouplent aux antigènes des vaccins et vont se loger dans les vaisseaux, les membranes synoviales etc...)

 Et bien sûr aussi, le risque de décès dû au vaccin.

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