mercredi 1 juillet 2015

Vaccination : quelques protocoles trouvés par des médecins pour contrer les effets secondaires



La vaccination des adolescentes contre le papillomavirus humain (HPV) a eu comme objectif d’empêcher le cancer du col de l’utérus. Le premier vaccin contre le HPV appelé « Gardasil » (Merck) a été approuvé en 2006 et un second vaccin appelé « Cervarix » (GSK) a été introduit en 2007. A la fin de 2013, environ 130 millions de doses de Gardasil et 44 millions de doses de Cervarix avaient été distribuées dans le monde entier. En 2010, les deux vaccins ont été largement administrés aux jeunes-filles japonaises. En avril 2013, le gouvernement japonais a recommandé et ajouté les deux vaccins au calendrier vaccinal.



Forte incidence d’effets secondaires
En juin 2013, deux mois seulement après que la loi ait été votée, le gouvernement japonais a suspendu la recommandation pour ces vaccins. Une nouvelle étude a fait apparaitre que les effets secondaires du Gardasil et du Cervarix étaient de 1,7 à 3,6 fois plus élevés que ceux des autres vaccins. Un groupe de travail gouvernemental a analysé les rapports d’effets secondaires de ces vaccins contre le HPV. Ils ont examiné 2.500 cas et trouvé que 617 d’entre eux,  soit 25% pouvaient être considérés comme étant des cas « graves ».
Etonnamment, le groupe officiel de travail a ensuite publié cette déclaration :
« Ne trouvant aucune cause physique aux effets indésirables présumés de ces jeunes-filles vaccinées, il ne nous est pas possible de recommander une thérapie spécifique. Nous en concluons que leurs soi-disant réactions indésirables sont de nature psychosomatique. Le gouvernement devrait fournir des conseils à ces jeunes-filles afin qu’elles puissent être libérées de leurs réactions psychosomatiques. »

Gravité des effets secondaires
Lorsque d’autres experts de santé ont réévalué ces différents cas, ils ont trouvé que 1.112 (44%) d’entre eux étaient graves. L’apparition  initiale des symptômes a eu lieu plusieurs semaines à un an après que le vaccin contre le HPV ait été administré. Ces effets secondaires comprenaient : maux de tête, étourdissements, faiblesse musculaire, douleurs, nausées, hypersomnie, difficultés d’apprentissage, troubles de l’écriture, photophobie, tremblements des bras, des pieds et des doigts, douleurs articulaires, menstruations irrégulières, troubles de la marche, perte de mémoire, eczéma et acné.
Les diagnostics des filles qui ont connu des effets indésirables de la vaccination contre le HPV ont été diversement diagnostiqués. Ces jeunes-filles ont souffert de :
Dysfonctionnement supérieur cérébral
Syndrome de Guillain-Barré
Sclérose en plaques
Encéphalomyélite aiguë disséminée
Panencéphalite subaiguë sclérosante
Syndrome douloureux régional complexe
Syndrome de tachycardie orthostatique posturale
Syndrome des anticorps antiphospholipides
Lupus érythémateux disséminé
Polyarthrite rhumatoïde
Syndrome de fatigue chronique
Fibromyalgie
Syndrome de Cushing
Maladie d’Hashimoto (attaque de la glande thyroïde)
Hyperprolactinémie
Les résultats de laboratoire mettent en valeur :
Chimie normale du sang
Aucun signe d’une condition inflammatoire dans le sang
Augmentation des cytokines pro-inflammatoires dans le liquide céphalo-rachidien (IL-2, IL-10,TNF-a)
Réduction de la circulation sanguine du cerveau (scintigraphie par perfusion)
Sensibilité élevée des leucocytes contre l’aluminium.

Les vaccins contre le HPV contiennent de l’aluminium toxique
Les vaccins contiennent souvent un adjuvant qui est un produit chimique destiné à provoquer la réponse immunitaire au vaccin. Les vaccins contre le HPV contiennent un adjuvant avec un composé d’aluminium, le sulfate d’hydroxyphosphate d’aluminium amorphe (AAHS)
La recherche actuelle implique fortement les adjuvants d’aluminium dans divers troubles neurologiques inflammatoires et auto-immuns chez les humains et les animaux. Par exemple, un document de recherche récente a expliqué que les nanomatériaux  tel que l’adjuvant aluminium peuvent être transportés par les cellules du système immunitaire dans le sang, les ganglions lymphatiques et la rate. Dans certains cas, l’aluminium peut pénétrer dans le cerveau. [1] Cette possibilité d’accès dans tout le corps est potentiellement mortelle. Les symptômes qui se manifestent au niveau du cerveau  sont souvent les plus retardés du fait qu’il faut à l’aluminium un certain temps pour voyager dans le sang et traverser la barrière hémato-encéphalique.
L’aluminium s’accumule dans les neurones du cerveau. Il est toxique pour les neurones et provoque une variété de conditions pathologiques. Il inhibe l’absorption de la dopamine et de la sérotonine qui sont d’importants neurotransmetteurs du cerveau. La toxicité de l’aluminium est un facteur connu de la maladie d’Alzheimer. Il peut contribuer aux pertes de mémoire, à la perte de coordination, à la confusion et à la désorientation. Des expériences faites sur animaux, notamment sur des lapins auxquels on avait administré de l’aluminium ont mis en valeur des problèmes de mémoire, comme des difficultés d’apprentissage.
Traitements efficaces pour les réactions indésirables de la vaccination contre le HPV

Protocole 1:

Cocktail de Vitamine C & Glutathion, administré par voie intraveineuse (Dr. Yanagisawa)

1 juillet, 2015
Posté par Benji sous Découvertes/sciences

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